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Hamilton : "Nous ne prenons pas vraiment de risques" comme Ferrari

Lewis Hamilton a décrit la manière de prendre des décisions dans certains moments cruciaux du week-end entre lui et ses ingénieurs, estimant que le premier facteur consiste à limiter toute désillusion comme celle connue par Ferrari avec Leclerc en Q1.

Charles Leclerc, Ferrari SF90

Photo de: Zak Mauger / Motorsport Images

Lewis Hamilton estime que Mercedes ne "prend pas beaucoup de risques" à l'image de ceux engagés par Ferrari avec Charles Leclerc lors de la première phase de qualifications du Grand Prix de Monaco.

Leclerc s'est fait rejeter du top 15 ouvrant l'accès à la Q2 – ironiquement par son équipier Vettel, qui se trouvait lui aussi dans la zone de danger dans les ultimes secondes – en dépit du fait d'avoir disposé de près de 2min30 pour reprendre la piste et tenter de s'extraire du lot. Franchement agacé par cette stratégie périlleuse de son équipe après les qualifications, Leclerc a sollicité des explications, tandis que Mattia Binotto, le directeur d'équipe, a adressé ses plus plates excuses, invoquant une erreur de calcul des marges de sécurité dans une situation où le bon sens humain semblait pouvoir aisément se substituer à tout calcul informatique.

To be safe or not to be...

Lorsqu'il lui a été indiqué la raison pour laquelle Leclerc s'était retrouvé dehors dès les 15 premières minutes de qualifications, Hamilton, poleman, a estimé que ce genre d'erreurs était "avant tout" la résultante "de la préparation" et qu'il s'agit "vraiment d'une formalité". "Nous nous installons et parlons beaucoup du plan. Même jusqu'au moment d'entrer en Q3, nous parlions du timing et de la préparation. La communication est constante", détaille le poleman au sujet de la méthode de travail de Mercedes, qui n'a pas connu de tel écueil. "Parfois, ça peut arriver. Il y a un minimum de temps, le chrono à battre et l'on prédit que la piste va s'améliorer d'un certain temps. Et ils [les ingénieurs et stratèges, ndlr] se disent : 'C'est sans risque'." 

Lire aussi:

"Pour mon premier tour, ils ont dit : 'Tu es à l'abri, mais tu peux rester et en faire plus'. J'ai décidé de rester dehors pour améliorer mon temps et voir si la piste évoluait. J'ai aussi été assis dans le garage à fleur de peau, à dire : 'On devrait peut-être sortir ou peut-être pas'. C'est un choix de risque à prendre. Nous ne prenons pas vraiment beaucoup de risques."

Les qualifications de Ferrari se sont mal déroulées jusqu'au bout puisque Sebastian Vettel, auteur de deux contacts avec le rail durant la séance, ne s'est pas montré en mesure de lutter pour la pole position et a même été battu par la Red Bull de Max Verstappen. Les erreurs de pilotage de Vettel, en revanche, reçoivent un jugement plus complaisant de la part de Hamilton, qui a jugé une approximation "très facile" à commettre.

"Il s'agit toujours d'une bataille très intense, quel que soit le package dont vous disposez. Vous essayez toujours d'en tirer chaque petite once de performance. Lorsque vous êtes sur le fil du rasoir, vous commettez plus d'erreurs. Si l'auto n'est pas dans le rythme, en tant que pilote, vous pouvez amener deux, trois, quatre dixièmes, et vous poussez au-dessus de la limite et commettez des erreurs."

 

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