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Hamilton - Reconnaître la piste le jeudi ne fait "aucune différence"

Lewis Hamilton a réitéré ses propos concernant le fait que le circuit n'était pas spécialement compliqué mais admet qu'il n'en aura le coeur net que quand il pilotera la Mercedes W07 Hybrid lors des Essais Libres 1.

Lewis Hamilton, Mercedes AMG F1 Team

Photo de: XPB Images

Sergio Pérez, Sahara Force India F1, à pied sur le circuit avec son équipe
Kevin Magnussen, Renault Sport F1 Team, et Esteban Ocon, pilote d'essais de Renault Sport F1 Team, à pied sur le circuit avec l'équipe
Sergio Pérez, Sahara Force India F1, à pied sur le circuit avec l'équipe
Kevin Magnussen, Renault Sport F1 Team, et Esteban Ocon, pilote d'essais de Renault Sport F1 Team, à pied sur le circuit avec l'équipe
Felipe Massa, Williams, à pied sur le circuit avec son équipe
Rio Haryanto, Manor Racing, à pied sur le circuit avec son équipe
Lewis Hamilton, Mercedes AMG F1 Team
Lewis Hamilton, Mercedes AMG F1 Team
Lewis Hamilton, Mercedes AMG F1 Team

Comme de coutume, et malgré la nouveauté du circuit de Bakou, Lewis Hamilton n'a pas effectué de reconnaissance de la piste, il ne se familiarisera avec les virages du tracé azéri que ce vendredi. Il explique aussi n'avoir fait que huit tours du simulateur Mercedes, et ce avant le Grand Prix du Canada.

"Je verrai demain. Dans le simulateur, il était très facile, mais le simulateur n'est pas très bon. C'est un très mauvais jeu d'ordinateur fondamentalement, ça ne dit pas grand-chose. Je n'ai pas piloté sur la piste, donc je ne peux pas vous dire [quelles sont mes premières impressions]."

"Je ne sais pas si c'est bosselé, je ne sais pas si c'est doux, je ne sais pas si c'est difficile au freinage, si les vibreurs sont rudes, je ne sais rien. C'est juste un tracé, donc je sais au moins quel chemin prendre. Demain, après les tout premiers tours, je suis presque sûr que je saurai si c'est difficile ou pas."

Pas de reconnaissance de piste depuis 2010

Le triple Champion du monde, qui reste sur deux succès à Monaco et à Montréal, a clairement fait comprendre qu'il ne voyait aucun intérêt dans une reconnaissance de la piste le jeudi, que la plupart des pilotes font en compagnie de leurs ingénieurs.

"Il y a des approches différentes. Je pensais faire un tour de vélo ce soir, ce que je pourrais faire, mais j'aime assez l'idée d'aller en piste pour la première fois demain. Je suis impatient. J'ai reconnu des pistes de la Formule Renault jusqu'à ma troisième ou quatrième année en F1 probablement. Ça ne fait aucune différence sur ma performance du week-end."

"Je n'ai plus reconnu de piste depuis 2010, et ça ne fait aucune différence. Si vous faites le tour de la piste en marchant ou à vélo, vous pouvez voir un vibreur, mais c'est différent quand vous pilotez. Ça peut marcher pour d'autres, mais pas pour moi. Je ferai le tour demain, et ce premier tour est comme prendre des photos avec votre esprit, et vous apprenez pendant que vous faites le tour."

Hamilton explique que le seul virage qu'il a vu était le 16, depuis sa fenêtre d'hôtel. De manière ironique, alors que Jenson Button et Nico Rosberg ont soulevé des craintes concernant les dégagements, le pilote au n°44 estime qu'ils sont trop grands.

"Je suis arrivé et j'ai regardé par ma fenêtre, et [je pouvais voir] juste un virage, le virage 16, et j'ai seulement pensé qu'il y avait un trop grand dégagement. Il y a une ligne blanche et ensuite, il y a probablement 10 mètres avant le mur à gauche."

"Je ne dessine pas les circuits, mais j'aime Monaco, il n'a presque aucune zone de dégagement, seulement dans les endroits où nous en avons vraiment, vraiment besoin. Mais je peux dire que demain nous contournerons le virage 16, nous sortirons et reviendrons."

Avec Adam Cooper

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