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Hamilton - Rosberg est un équipier aussi coriace qu’Alonso

Pour sa première saison en F1, en 2007, Lewis Hamilton arriva en trombe avec McLaren et déstabilisa un Fernando Alonso qui s’attendait à voir sa nouvelle équipe lui laisser un statut de N°1 incontestable dans la quête de la couronne mondiale

Pour sa première saison en F1, en 2007, Lewis Hamilton arriva en trombe avec McLaren et déstabilisa un Fernando Alonso qui s’attendait à voir sa nouvelle équipe lui laisser un statut de N°1 incontestable dans la quête de la couronne mondiale.
Mais tout Double Champion du Monde qu’il fut, Alonso dut s’affirmer en piste, selon les désirs de Ron Dennis, et l’émulation devint vite une concurrence teintée d’accents de jalousie. Aujourd’hui, Alonso et Hamilton estiment tous deux que la tension résidait surtout entre l’Espagnol et le management McLaren, et non directement entre les deux pilotes, dont l’objectif logique pour chacun est de battre son équipier.

Si la situation n’est bien entendu pas la même chez Mercedes, de petits parallèles peuvent être tirés. Homme de la maison et de la reconstruction du team pendant trois ans avec Michael Schumacher, Nico Rosberg a vu sa cote progressivement monter, mais l’arrivée à bord de son ami de longue date, l’an dernier changea la donne pour l’Allemand : il avait trouvé un équipier d’un calibre différent, à un stade moins avancé de sa carrière.

La mayonnaise a jusqu’à présent bien pris, poussant les deux côtés du garage dans la bonne direction pour le team. Si les cotes des bookmakers donnent toujours Hamilton largement favori devant son équipier, la lutte a été réelle en piste pour l’heure, avec cependant le même verdict final : l’ultime once de performance faisant la différence entre le Champion du Monde et le vainqueur de Grand Prix devient de plus en plus apparente après les 5 premières épreuves de la saison. Les positions psychologiques au sein du team se figent progressivement et l’ascendant moral comme mathématique a été pris par le clan Hamilton.

Sans abandon sur ennui technique à Melbourne, Hamilton pourrait aujourd’hui disposer de 5 victoires en autant de courses 2014. Challengé en qualifications et en course, le Britannique fait cependant ce qu’il faut pour franchir la ligne d’arrivée en tête, sans devoir imposer à son équipe de choix stratégique cornélien à la radio. Pour autant, Hamilton est le premier à rappeler le niveau de son équipier : ses victoires ne sont pas faciles, précise-t-il. En réalité, selon lui, l’adversité de Rosberg cette année est équivalente à celle d’Alonso en 2007.

« Ma course la plus difficile avec un équipier fur avec Fernando, en 2007 ; mais la course de Nico contre moi à Bahreïn fut aussi dure. Ensuite, cette manche [Espagne] arrive probablement en seconde place », estime le Champion 2008.

La manche catalane fut remportée à la dure, pour quelques dixièmes de secondes, et avec une auto très survireuse, rappelle le Britannique.

« C’est bien qu’ils nous autorisent à faire la course », se réjouit Hamilton, saluant la politique de Mercedes. « Nico était très rapide ce weekend. Je n’ai pas vraiment de réponse concernant la raison pour laquelle j’étais assez mal à l’aise depuis samedi. J’espérais que la course serait meilleure mais elle ne le fut pas ».

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