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Horner : L'arrivée d'Alfa Romeo montre que Ferrari ne veut pas partir

Pour Christian Horner, directeur de Red Bull Racing, l'arrivée d'Alfa Romeo en Formule 1 tend à démontrer que Ferrari n'est pas prêt à quitter la discipline reine.

Présentation d'un concept de livrée Alfa Romeo Sauber

Présentation d'un concept de livrée Alfa Romeo Sauber

Sauber

Sergio Marchionne, PDG de FIAT
Sebastian Vettel, Ferrari SF70H
Présentation d'un concept de livrée Alfa Romeo Sauber
Sebastian Vettel, Ferrari SF70H
Présentation d'un concept de livrée Alfa Romeo Sauber
Sebastian Vettel, Ferrari SF70H, rentre au stand
Sebastian Vettel, Ferrari SF70H
Sebastian Vettel, Ferrari SF70H
Sebastian Vettel, Ferrari SF70H

Ce week-end a été marqué par la présentation au Musée Alfa Romeo de Milan de l'alliance entre le constructeur italien et Sauber F1, dans ce qui a été qualifié d'accord "technique et commercial" et pris d'ores et déjà la forme d'un sponsoring qui donnera son nom et ses couleurs à l'équipe d'Hinwil.

Alfa Romeo Sauber donc, comme il faut désormais l'appeler, a été présenté en grande pompe, Sergio Marchionne ouvrant le bal des discours et annonçant lui-même le line-up pour 2018, composé de Marcus Ericsson et Charles Leclerc.

Pour Christian Horner, cité par Reuters, le retour d'Alfa Romeo est un signe de l'implication toujours aussi importante de Ferrari en F1, les deux marques italiennes faisant partie du groupe Fiat, que dirige Marchionne.

"[Alfa Romeo] vient sous la même direction que Sergio, donc je ne peux pas croire qu’il aurait fait venir Alfa Romeo pour que Ferrari s’en aille dans quelques saisons. Je pense que ça démontre à l’évidence que la Formule 1 marche et crée de la reconnaissance. Sinon le groupe n’aurait pas fait venir la marque Alfa en F1."

"La Formule 1 a besoin de Ferrari et Ferrari a besoin de la Formule 1. C’est un mariage de convenance à de nombreux égards mais les deux entités ont au final besoin l’une de l’autre. Et nous voulons assurément que Ferrari soit en F1. C’est une des plus grandes marques du monde et c’est une grande équipe contre laquelle se battre."

Cependant, la question de l'avenir de Ferrari en discipline reine demeure, dans les dires de la direction de la firme, toujours largement dépendante de l'avenir de la F1 elle-même, alors que débute le gros des discussions sur la prochaine réglementation moteur, attendue à l'horizon 2021.

Sergio Marchionne a tenu à rappeler, en marge de la conférence de presse de présentation d'Alfa Romeo Sauber, que tout restait à faire d'autant plus que les premiers retours n'ont pas été très bons : "Le dialogue a commencé et va continuer à évoluer. Nous avons du temps jusqu’en 2020 pour trouver une solution qui bénéficie à Ferrari."

"Il faut trouver une solution qui est bonne pour la discipline mais nous devons aussi être clairs sur les choses sur lesquelles on ne peut pas reculer."

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