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Horner : Un sprint à Bakou, c'est "absolument absurde"

Alors que le prochain Grand Prix, en Azerbaïdjan, marquera le premier sprint de la saison, les directeurs d'équipe s'inquiètent d'un éventuel manque de pièces de rechange.

Max Verstappen, Red Bull Racing, s'extrait de sa voiture après son accident

Photo de: Steve Etherington / Motorsport Images

Cette saison, il y aura pas moins de six sprints en Formule 1, le premier lors du Grand Prix d'Azerbaïdjan prévu fin avril, après lequel aura lieu le GP de Miami une semaine plus tard. Or, la piste de Bakou est particulièrement propice aux accidents ; ainsi, cette course supplémentaire est source d'inquiétude pour les écuries, malgré la clémence au niveau du plafond budgétaire. En effet, pour chaque sprint, les équipes peuvent déduire 150 000 € de leur déclaration de dépenses, ainsi qu'une somme qui peut dépasser les 100 000 € en cas d'accident.

Ce n'est pas suffisant pour rassurer les directeurs d'équipe, qui voient néanmoins le verre à moitié plein en se disant que tout le monde est logé à la même enseigne… même si Christian Horner, par exemple, est assez véhément.

"La réalité est qu'il est absolument absurde de faire la première course sprint de l'année sur un Grand Prix urbain comme l'Azerbaïdjan", déclare le directeur de Red Bull Racing. "Je pense que du point de vue du spectacle, du point de vue des fans, cela va probablement être l'une des courses sprint les plus passionnantes de l'année. Du point de vue du plafond budgétaire, tout ce que l'on peut faire, c'est détruire la voiture. Et cela coûte beaucoup d'argent là-bas. Alors une course suffit à Bakou. Le fait qu'on en ait deux… il pourrait bien y avoir de l'action. Mais cela fait partie du challenge et de la tâche que nous devons accomplir."

"Comme l'a dit Christian, Bakou crée des courses passionnantes et de grosses factures liées aux dégâts des accidents", acquiesce Zak Brown, PDG de McLaren Racing. "C'est pareil pour tout le monde, et c'est comme ça. Ce sera passionnant pour les fans. Espérons que les voitures reviendront dans le même état qu'au départ."

"Il y a clairement de la nervosité", renchérit Mike Krack, directeur d'Aston Martin F1 Team. "Mais c'est pareil pour tout le monde, alors nous allons essayer de garder les voitures en un morceau aussi longtemps que possible."

Otmar Szafnauer, qui est pour sa part à la tête de l'écurie Alpine, se réjouit en tout cas du petit mois qui va séparer les Grands Prix d'Australie et d'Azerbaïdjan : "Bakou semble toujours produire des courses intéressantes. Et oui, il y a plus de danger, car c'est une course urbaine et certains murs sont très proches. Ce qui est bien, c'est que nous avons cette pause de trois semaines pour fabriquer des pièces de rechange afin d'être préparés à la fois pour le sprint et pour la course à Bakou. Espérons que ça ira et que nous ne souffrirons pas à Miami."

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