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Hülkenberg : Un écart "trop grand" avec les meilleurs

Après le premier Grand Prix de la saison, le pilote Renault reste partagé entre la satisfaction de débuts solides et l'écart de performance constaté avec les écuries de pointe.

Max Verstappen, Red Bull Racing RB14 Tag Heuer, devant Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team R.S. 18, Stoffel Vandoorne, McLaren MCL33 Renault, et Valtteri Bottas, Mercedes AMG F1 W09

Max Verstappen, Red Bull Racing RB14 Tag Heuer, devant Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team R.S. 18, Stoffel Vandoorne, McLaren MCL33 Renault, et Valtteri Bottas, Mercedes AMG F1 W09

Andrew Hone / Motorsport Images

Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team R.S. 18
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team R.S. 18 au stand
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team R.S. 18
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team lors de la parade des pilotes
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team R.S. 18
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team R.S. 18 bloque une roue
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team R.S. 18, devant Valtteri Bottas, Mercedes AMG F1 W09
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team R.S. 18
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team R.S. 18
Arrêt au stand pour Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team R.S. 18
Une mascotte de Melbourne devant la voiture de Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team R.S. 18
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team R.S. 18

Satisfait du résultat décroché à Melbourne, avec une septième place et une double arrivée dans le top 10 pour Renault grâce au point également accroché par Carlos Sainz, Nico Hülkenberg constate que le Losange a fait le travail pendant l'hiver. Aux yeux de l'Allemand, la situation dans laquelle se trouve le constructeur français aujourd'hui est conforme au plan établi pour sa progression dans la hiérarchie, mais non sans quelques nuances.

Si l'optimisme l'emporte dans la bouche de l'Allemand, qui s'était qualifié septième également sur la grille, le point noir est à chercher du côté de l'écart de performance avec les meilleurs. Comme tout un chacun, Hülkenberg s'attendait à voir Mercedes, Ferrari et Red Bull aux avant-postes, mais il déplore le différentiel chronométrique entre ces trois écuries de pointe et le reste du plateau.

"Notre objectif était aussi d'être un peu plus proche des équipes de pointe", rappelle-t-il. "Malheureusement, nous n'y sommes pas parvenus. Je pense que l'écart avec l'avant est trop grand, et nous devons essayer de le réduire. Ce sera un gros défi."

Des progrès mais peut mieux faire ?

En course, Hülkenberg s'est retrouvé non loin des Red Bull dans chacun de ses deux relais, mais le pilote Renault ne se fait pas d'illusion. Les circonstances du Grand Prix ont clairement masqué l'écart réel qui séparait la RB14 de la R.S.18.

"C'était uniquement parce que les Red Bull étaient coincées derrière une Haas, puis derrière une McLaren", souligne-t-il, réaliste. "S'ils avaient eu la piste libre, ils se seraient échappés. Ils sont vraiment devant nous, largement devant. Mais ça ne s'est pas vu car ils ont tous les deux connu une course difficile, compromise." 

"En tant qu'équipe d'usine, nous avons des ambitions et des objectifs élevés. L'année dernière nous étions évidemment plus en retrait au début, mais cette année, si nous étions là où se trouve Force India désormais, ça voudrait dire que quelque chose s'est très mal passé. Il y aurait des têtes qui tombent. Je crois que nous avons fait ce que nous avions à faire pendant l'hiver, les progrès et le travail ont été réalisés, et c'est positif, mais dans le même temps, je pense que nous aimerions être encore un petit peu meilleurs."

La première bataille pour Renault est donc de se défaire de Haas mais aussi de McLaren, si l'on s'attarde sur les éléments livrés par le Grand Prix d'Australie. La lutte avec l'écurie de Woking sera très serrée selon Hülkenberg, pas surpris par la cinquième place décrochée par Fernando Alonso sur l'Albert Park.

"Non, franchement, je ne suis pas surpris par ça", assure-t-il. "Je ne m'attendais pas à ce que nous soyons beaucoup plus rapides, mais je pensais que ce serait serré entre nous. [En qualifications] j'étais un peu surpris que nous soyons à ce point devant eux. [En course] c'est difficile à voir. À la fin, le rythme de Fernando était sur de l'économie d'essence, donc c'est dur à lire, mais ce qui est sûr c'est que nous n'étions pas pire qu'eux."

Propos recueillis par Erwin Jaeggi 

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