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Aitken espère populariser la F1 en Corée du Sud

La carrière naissante de Jack Aitken peut-elle engendrer un véritable intérêt pour la Formule 1 en Corée du Sud ?

Jack Aitken, Williams Racing

Jack Aitken, Williams Racing

Mark Sutton / Motorsport Images

C'est au Grand Prix de Sakhir 2020 que Jack Aitken est devenu le premier pilote coréen à courir en Formule 1, bien que cet Écossais né à Londres coure sous licence britannique. Il s'agissait d'un événement majeur dans ce domaine pour un pays qui n'a pas vraiment la culture du sport automobile – les pilotes professionnels se comptent sur les doigts de la main.

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De surcroît, le Grand Prix de Corée de Formule 1, organisé de 2010 à 2013, n'a franchement pas été un succès populaire. Le circuit, situé dans un cadre loin d'être idyllique, était très peu apprécié par les pilotes pour ses caractéristiques techniques. Les spectateurs y étaient rares, les organisateurs trouvaient les frais d'inscription au calendrier trop onéreux, et malgré la volonté de rentabiliser ce circuit à 250 millions de dollars, l'aventure s'est arrêtée après quatre éditions peu mémorables.

Pourtant, Aitken a remarqué un certain engouement pour ses débuts dans l'élite. Rappelons que le pilote de réserve Williams a profité du forfait de Lewis Hamilton pour cause de COVID-19 et de la promotion de George Russell chez Mercedes pour participer au GP de Sakhir dans l'écurie britannique, avec la 16e place à la clé.

"Il y a eu une grande réaction, plus que ce à quoi je m'attendais, ce qui était incroyable car traditionnellement, la Formule 1 n'est pas aussi populaire en Corée", explique Aitken au quotidien hongkongais South China Morning Post. "L'intérêt pour le sport auto demeure naissant. Nous avons beaucoup de fans coréens qui entrent en contact et qui suivent les courses grâce à mes origines. On me demande souvent comment participer."

Aitken voit donc sa nationalité comme un atout pour sa carrière. "Il est de notoriété publique que le sport auto coûte cher et qu'il faut pouvoir se vendre. Les marchés dans l'Orient sont très attractifs et la Corée est certainement au sommet de cette liste. Si [les constructeurs] peuvent m'utiliser à des fins marketing, c'est un vrai plus", conclut l'ancien protégé de Renault.

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