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Jean Alesi se souvient du défi physique de Sepang

Ambassadeur Pirelli, Jean Alesi a disputé ses dernières saisons en Formule 1 au début des années 2000, alors que le tracé de Sepang devenait l'une des nouvelles statégies de Bernie Ecclestone pour promouvoir le développement de la discipline Outre-Mer, et particulièrement en Asie

Ambassadeur Pirelli, Jean Alesi a disputé ses dernières saisons en Formule 1 au début des années 2000, alors que le tracé de Sepang devenait l'une des nouvelles statégies de Bernie Ecclestone pour promouvoir le développement de la discipline Outre-Mer, et particulièrement en Asie. Jean Alesi se souvient de la difficulté physique légendaire de ce Grand Prix, qui puise dans les dernières ressources des organismes et des mécaniques.

J’ai participé au Grand Prix de Malaisie à deux reprises : la première, lors de l’année inaugurale, en 1999, et la seconde en 2000, pour ma dernière saison en Formule 1”, se souvient celui dont le coeur bat encore fort pour la F1. “Les deux fois, j’ai rallié l’arrivée, mais je me souviens à quel point il s’agissait d’un défi pour les pilotes comme les autos : il s’agit de l’une des courses du calendrier les plus exigeantes physiquement”.

Une nouvelle fois, la lecture d'une hiérarchie définitive sera rendue difficile par les particularité très spécifiques du tracé de Sepang.

Comme l’Albert Park, Sepang n’est pas un circuit « typique », et ce que nous verrons ce weekend ne sera probablement pas représentatif du reste de la saison”, estime ainsi l'Avignonnais. “Malgré tout, il montre certainement qui a une bonne voiture et une bonne aptitude à gérer les pneumatiques. Avec plus de dégradation cette année, savoir comment gérer les enveloppes devient encore plus important –comme ce fut toujours le cas en Formule 1-, et la Malaisie met l’accent sur ce point. S’il commence à pleuvoir vraiment fort, il n’y a vraiment rien à faire : il faut juste essayer de survivre ! Nous pourrions donc avoir des résultats très intéressants en fonction de qui fera les bons choix de pneus”.

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