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Kubica nous explique le circuit de Barcelone

Barcelone est un des circuits les plus connus des équipes et des pilotes qui y ont aligné des centaines de kilomètres durant les essais hivernaux

Barcelone est un des circuits les plus connus des équipes et des pilotes qui y ont aligné des centaines de kilomètres durant les essais hivernaux. La course y est rarement exceptionnelle car il est très difficile d’y effectuer des dépassements. Néanmoins, c’est un Grand Prix sympathique où il règne une bonne ambiance, tandis que les fans espagnols se déplacent en nombre.

Le tracé est relativement intéressant : il présente un certain nombre de secteurs rapides ainsi qu’un dernier secteur très lent. Il faut donc trouver un bon compromis lors de la mise au point de la voiture. Par le passé, j’ai toujours préféré que l’équilibre de la voiture soit adapté aux secteurs lents et je gérais la voiture aux endroits plus rapides. J’ai toujours trouvé qu’il était plus important d’avoir une bonne traction dans les secteurs lents et une bonne stabilité lors des freinages, surtout lorsque les températures sont élevées et qu’on a beaucoup de dégradation du côté des pneumatiques.

Le début du tour est technique. Il faut freiner fort dans le premier virage et on accumule de la vitesse dans le secteur suivant, qui amène au virage numéro trois, qui représente un réel défi, surtout lorsqu’on est chargé en essence. Il faut savoir trouver la limite. Ici, la trajectoire dépendra de la manière dont la voiture se comporte. Certaines monoplaces prendront large à la sortie du virage deux et de prendre une entrée serrée du virage trois, alors que d’autres feront le contraire et sacrifieront de la vitesse à la sortie du virage numéro deux pour prendre large au virage trois.

Le virage neuf est intéressant et inhabituel car il passe sur une petite colline et on ne peut pas voir la sortie. C’est un de ces virages où on espère qu’on ne va pas perdre le contrôle de la voiture, sinon on risque un bel accident. De manière générale, on le prend en cinquième vitesse et on freine un peu avant d’accélérer à l’approche du virage 10.

Le virage numéro 10 est difficile à négocier et les voitures ont souvent du mal ici avec la stabilité des freins. De plus, il y a souvent des petites bosses dans la zone de freinage. Si on souffre de dégradation des pneus, cela rend les choses plus difficiles, surtout pour trouver une bonne traction en sortie. On enchaîne tout de suite sur le virage 11, qui l’an passé n’était pas vraiment un virage car on pouvait réellement attaquer à la sortie. Par contre, cette année, avec les charges en carburant, il devrait être plus intéressant.

La fin du tour est à présent très peu rapide et ne présente pas un défi aussi important que ne l’était l’ancien tracé. La chicane à la fin du tour (les virages 14 et 15) est particulièrement lente. Il est donc important d’avoir une bonne traction pour garantir une bonne sortie car cela a un impact sur la vitesse à l’approche du dernier virage, puis sur la dernière ligne droite.

[Communiqué de Renault F1 Team]

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