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Kubica nous explique le circuit Gilles Villeneuve

Montréal est un de mes circuits préférés et je suis très content d’y courir à nouveau maintenant que le Canada est de retour sur le calendrier

Montréal est un de mes circuits préférés et je suis très content d’y courir à nouveau maintenant que le Canada est de retour sur le calendrier. Il y règne toujours une très bonne ambiance, c’est vraiment un super évènement pour les fans.

C’est un circuit fait d’accélérations et de freinages, avec un bon nombre de sections à gros freinages et des bosses. Ce n’est pas un circuit permanent et cela veut dire que le grip va en s’améliorant tout au long du weekend. On peut ainsi attaquer de plus en plus à chaque tour. Les murs sont très proches du tracé ; on ne peut donc pas commettre d’erreur mais ce sont des caractéristiques que j’apprécie. Pour la mise au point, il faut se concentrer sur la stabilité des freins et la traction. Il faut également que la voiture soit facile à piloter à cause des nombreuses bosses.

Je ne pense jamais à mon accident en 2007 et je n’ai aucune appréhension. En fait, j’ai remporté la course au Canada en 2008, j’y retourne donc en vainqueur. J’ai un bon feeling sur ce tracé et j’espère que la R30 y sera compétitive. De manière réaliste, la victoire sera difficile, mais on ne sait jamais…

On freine dans le virage 1 et on arrive immédiatement dans le virage 2. On peut attaquer l’intérieur de manière agressive bien que cela dépende de l’équilibre de la voiture, mais il est important d’être sur une bonne trajectoire dans le virage 2, une épingle un peu longue qui s’élargit en sortie. On passe la corde très tôt et on accélère rapidement pour l’approche de la chicane, un des virages les plus sympas du tour.

Les virages 3 et 4 sont agréables à prendre au volant d’une F1. On prend le virage à environ 155km/h et on peut gagner pas mal de temps en passant sur les vibreurs. Par contre, en faisant cela, on joue avec l’équilibre de la voiture. Il faut donc s’assurer de retomber sur la bonne trajectoire. Le mur est très proche à la sortie et si on arrive à y passer à quelques millimètres seulement, on peut être plus rapide de 0.2s. Il faut faire sa propre évaluation mais ne pas être trop proche car les F1 sont des voitures très fragiles si on touche…

Les virages 8 et 9 composent une autre chicane. Il faut s’assurer de bien en sortir car il amène à une épingle et c’est là la seule réelle opportunité de dépassement du tour. L’épingle est la partie la plus lente du tour et nous y avons connu quelques difficultés car la surface du circuit s’était déchirée à cet endroit par le passé. Si on prend une trajectoire en V en sacrifiant son entrée, on peut effectuer une bonne sortie. C’est important pour assurer une bonne traction à l’approche de la longue ligne droite qui suit.

[Communiqué de Renault F1 Team]

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