Quand Kubica gagnait et Honda faisait d'Alonso sa cible n°1
Le Grand Prix du Canada 2008 s'était apparenté à de véritables montagnes russes en piste comme en dehors, et avait été absolument passionnant à couvrir depuis le paddock. Voici pourquoi.
Après 18 tours de course à Montréal, j'ai entendu deux gros bruits depuis la salle de presse, où mon siège se trouvait à une centaine de mètres de la sortie des stands du Circuit Gilles Villeneuve. Le retard des images télévisées m'a laissé quelques secondes pour échanger un regard interrogateur avec mon collègue chez Autosport, Jonathan Noble, avant de me tourner à nouveau vers les écrans pour voir Lewis Hamilton percuter la Ferrari stationnaire de Kimi Räikkönen avant d'être lui-même heurté par la Williams de Nico Rosberg.
De manière insolite, le responsable communication de McLaren, Steve Cooper – qui venait de rejoindre le "côté obscur" (à savoir les relations publiques) en provenance du journalisme, et à qui j'avais succédé – a donné une tape dans le dos à Lewis pour le réconforter. Il a par la suite admis qu'il ne regardait pas les écrans au moment où l'incident s'était produit et n'avait aucune idée de ce qui s'était réellement passé !
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