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La FIA revient sur les incidents des qualifications à Shanghai

En Chine, la séance de qualifications n'a pas manqué de provoquer l'étonnement et des interrogations.

Lewis Hamilton, Mercedes AMG F1 Team W07

Photo de: Mercedes AMG

Nico Rosberg, Mercedes AMG F1 Team W07
Lewis Hamilton, Mercedes AMG F1 Team W07
Lewis Hamilton, Mercedes AMG F1 Team W07
Carlos Sainz Jr., Scuderia Toro Rosso STR11
Jenson Button, McLaren MP4-31
Esteban Gutierrez, Haas F1 Team VF-16 et Pascal Wehrlein, Manor Racing MRT05

Lors du Grand Prix de Chine, la séance de qualifications a été émaillée par plusieurs incidents, dont deux qui ont provoqué l’interruption de la séance au drapeau rouge. Mais un autre incident a pu interpeller, lorsque Jenson Button a mentionné la présence d’un véhicule d’intervention au niveau de l’entrée des stands. Le Britannique l’a signalé dans sa radio, ne manquant pas de souligner qu'il s'agissait selon lui d'un endroit très dangereux en cas de perte de contrôle d’un pilote. 

Contacté par l’agence Reuters, le directeur de course de la FIA, Charlie Whiting, a rappelé que le risque à cet endroit était faible, mais n’a pas manqué d’évoquer un incident "inacceptable" malgré tout. 

Selon Whiting, le conducteur du véhicule en question manquait d’expérience, mais s’est très vite rendu compte de son erreur pour s’en aller rapidement de la zone. Une erreur qui ne doit pas se reproduire, mais qui n’est d'après lui "pas comparable" au danger qui était plus que jamais présent lorsque la Force India de Nico Hülkenberg a perdu une roue mal serrée, provoquant le drapeau rouge en fin de Q2. 

La séance de qualifications de Shanghai n’avait décidément rien de normal, puisque les commissaires ont également été vus en train d’installer une pile de pneus à l’épingle au terme de la Q2. Whiting a expliqué que, en raison du retard pris auparavant, les commissaires ont simplement cru que la séance était terminée et préparait la piste pour la course de support qui devait suivre. 

"C’était assez amusant d’entendre tous les directeurs d’équipe se demander pourquoi nous faisons cela", a confié Whiting à Reuters. "Je ne vous cache pas que j’ai eu vent de l’un d’entre eux qui disait que nous en avions assez de voir les pilotes abuser des vibreurs, et que nous avions décidé de prendre une mesure radicale."

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