Tout le monde le savait... Météo France avait été on ne plus précis. ''Averses éparses sur le pourtour du circuit manceau en fin d'après midi.'' Tous les teams avaient un spécialiste de la météo au mètre près.
Et puis patatra, l'averse est venue, drue, terrible dans ce qu'elle avait de prévisible et d'annoncée mais tellement impitoyable. "Je n'ai pas vu grand chose franchement" déclarait Nicolas Lapierre alors au volant de la Toyota de pointe. Il se compliqua la vie lorsque, dans la purée de pois, il partit à la faute. "J'ai vu une Ferrari qui nous a emmenés à l'extérieur et après franchement nous n'avons rien pu maîtriser."
Au bilan de ces cabrioles insensées, deux des favoris de haute lignée au tapis, la Toy de Nico, mais aussi l'Audi d'Albuquerque. De quoi quand même se poser des questions sur une stratégie nippone qui s'appuie sur deux voitures face à une armada Audi qui, fortes de trois vaisseaux, dispose alors d'une deuxième, voire d'une troisième chance alors que les adversaires sont sur la corde raide dès que l'une des voitures disparaît de la liste des prétendants.
Porsche avait déjà vu une des deux 919 sérieusement retardée par un passage au stand avant d'affronter la terrible nuit mancelle. Celle qui donne à une marque le droit d'entrer dans la légende.
Une Toyota, une Porsche mais deux Audi, la balance avait penché vers Ingolstadt mais les deux outsiders gardaient la main et les heure noctambules qui s'annonçaient étaient pleine de promesse.
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