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Les critiques d’Ecclestone laissent Vettel de marbre

Sebastian Vettel, Ferrari lors de la conférence de presse de la FIA

Sebastian Vettel, Ferrari lors de la conférence de presse de la FIA

XPB Images

Sebastian Vettel, Ferrari SF15-T
Bernie Ecclestone,

Il est assez vieux pour dire ce qu’il pense.”  C’est par ces mots que Sebastian Vettel a réagi aux critiques que lui avaient adressées Bernie Ecclestone à Monaco, comme pour les écarter d’un revers de main.

“Je continue de bien m’entendre avec lui,” a-t-il toutefois pris soin de préciser au Canada. “Il a certaines opinions tranchées sur différentes choses, et c’est bien, mais ça ne me gêne pas trop.”

Les deux hommes ont été longtemps connus pour avoir des relations plutôt privilégiées. Durant ses années Red Bull, le pilote allemand ne cachait pas la grande admiration qu’il avait pour Ecclestone et admettait le consulter régulièrement sur différents sujets. Et le respect était réciproque.

Hamilton, ce héros

En principauté, Ecclestone avait donc reproché à Vettel et à son compatriote Nico Rosberg de ne pas être d’assez bons ambassadeurs pour la Formule 1. Il avait en revanche estimé que Lewis Hamilton était un “super promoteur” pour la discipline, soulignant que c’était “un héros au Royaume-Uni.”

Des propos qu’il avait d’ailleurs réitéré au micro de Jean Alesi pour Canal+ lors de ce même week-end monégasque. Il est vrai que ni Vettel, ni Rosberg ne sont parvenus à susciter à ce jour le même enthousiasme, encore moins la même adoration, que Michael Schumacher dans leur pays.

D’après le détenteur des droits commerciaux de la F1, Vettel n’en ferait pas assez pour promouvoir la Formule 1 parce que les priorités du pilote Ferrari sont... lui-même et la Scuderia. Ce que le quadruple champion du monde n’a pas l’air de vouloir nier : “Je me concentre sur moi-même et j’essaie de faire du mieux possible pour moi et pour l’équipe,” a-t-il précisé, pour ne pas dire... confirmé. Difficile de le lui reprocher, étant donné le défi qu’il affronte aujourd’hui avec l'écurie de Maranello.

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