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Les pilotes Sauber ne sont "pas les meilleurs amis du monde"

En Formule 1, les relations entre coéquipiers sont très variables.

Marcus Ericsson, Sauber C34 devant son équipier Felipe Nasr, Sauber C34

Photo de: XPB Images

Marcus Ericsson, Sauber C34 devant son équipier Felipe Nasr, Sauber C34
Marcus Ericsson, Sauber C34
1er Jolyon Palmer, 2e Marcus Ericsson, 3e Felipe Nasr
Marcus Ericsson, Sauber C34 devant son équipier Felipe Nasr, Sauber C34
Beat Zehnder, Team Manager Sauber F1 Team avec Felipe Nasr, Sauber F1 Team et Marcus Ericsson, Sauber F1 Team
Fernando Alonso, McLaren MP4-30 en tête-à-queue au départ et évité par Marcus Ericsson, Sauber C34 et Felipe Nasr, Sauber C34
Marcus Ericsson, Sauber C34

Elles peuvent être très tendues, à l'image de celles qui opposent Lewis Hamilton et Nico Rosberg, tandis que chez McLaren, Fernando Alonso et Jenson Button sont unis dans l'adversité.

Les pilotes Sauber Marcus Ericsson et Felipe Nasr étant globalement de la même génération (nés respectivement en 1990 et 1992), ils se sont côtoyés en formules de promotion, plus précisément en GP2 où les deux saisons de Nasr ont coïncidé avec les deux dernières campagnes d'Ericsson.

Malgré un total de 20 podiums cumulés sur ces deux saisons, les deux hommes ne s'y sont croisés qu'une fois, au Hungaroring, en 2013, et ne cachent pas qu'une petite rivalité les opposait dans l'antichambre de la Formule 1.

J'ai abordé cette saison dans l'inconnue," reconnaît Ericsson dans les colonnes d'Autosport. "En GP2, Felipe et moi avons eu des batailles acharnées et nous n'étions peut-être pas les meilleurs amis du monde mais franchement, nous travaillons bien ensemble. Nous ne sommes pas les meilleurs amis du monde, mais il n'y a aucune raison de l'être quand on est coéquipiers."

En Formule 1 plus qu'en GP2, c'est l'intérêt de l'écurie qui prime. Aussi les deux pilotes n'ont-ils pas hésité à collaborer étroitement pour faire progresser Sauber.

"Ce que nous faisons bien, c'est que nous pouvons parler de choses et nous le faisons d'habitude pour chaque séance," poursuit Ericsson. "C'est important, surtout dans une petite équipe où nous n'avons pas les ressources pour mettre de nouvelles pièces sur la voiture à tout-va."

Un désaccord à Austin

Le Grand Prix des États-Unis a vu les deux Sauber s'accrocher en début de course, mais Nasr est parvenu à remonter à la neuvième place tandis qu'Ericsson a été contraint à l'abandon au 25e tour, victime d'un problème mécanique.

"À Austin, nous étions quelque peu en désaccord, mais après la course, nous en avons discuté et nous sommes passés à autre chose, il n'y avait aucun problème. C'est un point fort. Je suis content qu'il reste et que nous puissions continuer à travailler ensemble l'an prochain," conclut le Suédois.

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