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Les plus belles courses de McLaren-Mercedes : Japon 2005

Ce Top 10 fait la part belle aux plus belles démonstrations des pilotes McLaren de l'époque Mercedes

Ce Top 10 fait la part belle aux plus belles démonstrations des pilotes McLaren de l'époque Mercedes. Kimi Räikkönen fut d'ailleurs déjà cité plus bas dans ce classement. Mais les observateurs s'accordent principalement à dire que son chef d’œuvre est Suzuka 2005.

Rien ne semblait pourtant prévoir que Räikkönen l'emporte en terre nippone. En effet, pour la quatrième fois cette saison, le Finlandais dut subir un recul de dix places sur la grille de départ suite à la casse de son moteur Mercedes. En effet, la splendide MP4/20 était aussi rapide que fragile, ce qui contribua en partie à la victoire de Fernando Alonso et de Renault au championnat. L'Espagnol ayant s'étant d'ailleurs déjà assuré du titre mondial lors de la course précédente.

Cependant cette place était également due aux conditions météos, puisque la pluie a encore frappé au mauvais moment (comme à Spa 2004), mais avec une intensité bien plus forte, si bien que la McLaren ne se qualifia qu'en dix-septième position. Laissant la surprenante Toyota de Ralf Schumacher en pole position, et la Renault d'Alonso en quatorzième place.

Le récent champion du Monde et le futur couronné de 2007 firent alors étalage de tout leur talent sur le grand-huit de Suzuka. Les deux prirent un très bon départ, et glanèrent place après place, que ce soit au gré des arrêts aux stands ou des nombreux dépassements qui survinrent ce jour-là. Michael Schumacher fut d'ailleurs leur victime favorite puisqu'il se fit doubler à trois reprises, dont deux fois par Alonso.

Hélas pour l'Espagnol, un dépassement contestable sur Klien à la chicane – sur le même modèle que celui de Lewis Hamilton à Spa en 2008 – poussa la FIA à lui demander de rétrocéder sa position, bien que la FIA changea finalement d'avis entre temps ! Bien que parti plus loin, Räikkönen fut donc en meilleure posture pour l'emporter face à l'autre Renault de Giancarlo Fisichella, qui avait été épargné par la météo en qualifications.

Après un long dernier run, Räikkönen ravitailla une dernière fois, à huit tours du but, et se retrouva derrière Fisichella. Il n'y avait plus de temps à perdre, d'autant qu'à cet instant, McLaren jouait encore le titre constructeur, et le crash de Juan-Pablo Montoya dès la fin du premier tour rendait cette victoire encore plus nécessaire. Le Finlandais fit le forcing pour recoller à l'Italien, ce qu'il parvint à faire à deux tours du but. Paralysé par l'enjeu, Fisichella se défendit maladroitement à la chicane, laissant la voie libre au Finlandais pour le doubler spectaculairement dans la ligne droite.

Jeu, set et match. Räikkönen l'emporta magistralement devant les deux pilotes Renault. S'il n'empêcha pas le constructeur au losange d'inscrire son nom au palmarès la semaine suivante en Chine, le Finlandais avait fait définitivement comprendre qu'il méritait, lui aussi, un titre mondial, si ce n'est plus. Il fut exaucé deux ans plus tard, au détriment des... McLaren.

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