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Les vibreurs de Montréal handicapent les Renault

Kevin Magnussen et Jolyon Palmer pensent que des difficultés sur les vibreurs ralentit Renault au Canada ce week-end, mais restent confiants de pouvoir passer en Q2.

Kevin Magnussen, Renault Sport F1 Team R.S.16

Photo de: XPB Images

Jolyon Palmer, Renault Sport F1 Team RS16
Jolyon Palmer, Renault Sport F1 Team RS16
Jolyon Palmer, Renault Sport F1 Team RS16
Jolyon Palmer, Renault Sport F1 Team RS16
Jolyon Palmer, Renault Sport F1 Team RS16
Kevin Magnussen, Renault Sport F1 Team RS16
Kevin Magnussen, Renault Sport F1 Team RS16
Kevin Magnussen, Renault Sport F1 Team RS16

Après une première séance d'essais libres difficile à Montréal où ils étaient 20e et 22e sur la feuille des temps, Kevin Magnussen et Jolyon Palmer ont réalisé quelques progrès en seconde séance. Toutefois, les deux pilotes reconnaissent que le comportement de la voiture sur les vibreurs était leur principal problème.

Palmer, qui était le vingtième plus rapide dans l'après-midi, a déclaré : "C'était difficile. Je pense que notre principal problème est l'escalade des vibreurs, qui est relativement importante ici."

"Nous avons utilisé des réglages diffférents sur les deux voitures et essayé de rassembler les données pour voir ce qui est mieux pour demain. Ce n'est pas facile, mais sur la feuille des temps, je suis confiant de pouvoir être placé plus haut que cela."

Magnussen a ajouté : "C'était relativement similaire à Monaco. Heurter les vibreurs n'est jamais bon pour une voiture de Formule 1 mais c'est l'atterrissage qui peut être bon ou mauvais. Et nous nous battons un peu en ce moment."

"Sur ce circuit, vous prenez les vibreurs à presque tous les virages, donc c'est très important d'avoir une bonne stabilité, et nous n'en n'avons pas actuellement."

Interrogé si il s'agissait d'un problème fondamental de la voiture ou quelque chose qui pourrait être modifié avec les réglages, Magnussen a répondu : "Il est probablement difficile d'arranger cela complètement. Nous devons essayer."

Objectif Q2

Malgré leur non-satisfaction due à ces incidents, les deux hommes pensent que la Q2 peut être une cible – particulièrement avec les améliorations moteur. Lorsqu'il lui a été demandé s'il pensait pouvoir passer en Q2, Magnussen a répondu : "Je pense, oui. En Essais Libres 2, il semblait que Romain Grosjean soit juste devant nous, et il y a un grand écart avec le groupe suivant, qui est très serré."

"C'est décevant de ne pas en faire partie, cela serait amusant dans ce groupe parce qu'avec quelques dixièmes, vous avancez beaucoup. Mais ce n'est pas où nous sommes actuellement." Palmer, quant à lui, a bon espoir que la nouvelle unité de puissance Renault apporte un gain en performance.

"C'est clairement plus puissant et une bonne progression", a indiqué le Britannique. "Nous avons plus de choses à venir demain, aujourd'hui nous étions plutôt conservateurs. Nous n'avons pas fait beaucoup de tours avec [le nouveau moteur Renault]."

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