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Le salaire de Carey est basé sur les résultats financiers de la F1

La rémunération de Chase Carey, président de la Formule 1, est intimement liée aux performances financières de l'organisation qu'il dirige. C'est ce qu'a confirmé Liberty Media, propriétaire de la F1.

Chase Carey, PDG Formula One

Photo de: Charles Coates / Motorsport Images

Logo du F1 Live London
Sebastian Vettel, Ferrari, fait des donuts
Chase Carey, directeur exécutif du Formula One Group
Chase Carey, directeur exécutif du Formula One Group à la réception Carbon Champagne
Esteban Ocon, Force India VJM10
Chase Carey, PDG Formula One Group, Sean Bratches, directeur commercial FOM et David Tremayne, Journaliste sur la grille
Départ : Sebastian Vettel, Ferrari SF70H, Kimi Raikkonen, Ferrari SF70H, mènent
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17, Daniil Kvyat, Scuderia Toro Rosso STR12, Lance Stroll, Williams FW40

Les revenus de la Formule 1 d'avril à juin se chiffrent justement à 616 M$ (521 M€), ce qui représente une augmentation de 3% par rapport au deuxième trimestre de 2016, lorsque Bernie Ecclestone était à la tête de la FOM.

Cependant, les bénéfices d'opération ont chuté de 50%, de 90 M$ (76 M€) à 45 M$ (38 M€), avec l'augmentation des dépenses d'opération et d'autres coûts.

Greg Maffei, dirigeant de Liberty Media, s'est exprimé au sujet de l'accord qu'il entretient avec Chase Carey : "Nous ne prévoyons pas de publier son contrat, mais je voulais partager avec vous le fait que la grande majorité des indemnités de Chase sont directement liées aux performances opérationnelles de la F1, ou aux actions du F1 Group."

Pour sa part, Carey a confirmé que les coûts du F1 Group allaient continuer de s'accroître avec le recrutement de nouveaux cadres. D'autant que le groupe a effectué d'autres investissements dans l'événementiel, comme avec F1 Live London, et dans la technologie numérique.

"Nos effectifs corporate étaient d'environ 70 à 75 personnes, et ils ont probablement doublé", affirme Carey. "Nous continuons de bâtir. Nous avons engagé la plupart des cadres, mais nous n'avons pas encore construit l'équipe entièrement."

"Nous avons parlé d'environ 50 M$ (42 M€) par an, et au fil de notre processus automnal de planification et de budgétisation, ce sera plus précis, car il ne s'agit pas que des ressources humaines. Nous avons tenu des événements comme F1 Live à Londres, dont nous pensons qu'ils sont importants pour impliquer les fans de façon bien plus active et globale."

"Nous sommes engagés avec des partenaires numériques. Nous n'avons pas vraiment de plateforme numérique appropriée à ce jour, donc il y a des investissements que nous avons consentis pour soutenir la création d'une plateforme numérique à l'avenir. Lors des mois à venir, nous affinerons ce projet."

"Je pense que nous savons globalement dans quelle direction nous allons, mais comme je l'ai dit, notre planification et budgétisation restent un travail en cours, en raison des recrutements récents. Rendons-nous compte qu'il y a trois ou quatre mois, nous étions trois personnes dans un bureau temporaire. Ces plans vont certainement être affinés d'ici la fin de l'année."

Il y a trois ou quatre mois, nous étions trois personnes dans un bureau temporaire

Chase Carey

Carey a également fait des révélations intéressantes sur les arrangements de la F1 au Royaume-Uni concernant les impôts, plus précisément le versement d'intérêts visant à réduire son passif – une pratique courante auparavant.

"Nous avons éliminé avec succès un milliard de dollars de notre dette, nous avons réévalué notre dette restante, et nous avons également reçu des mises à jour des agences de notation. Cela aura pour effet de réduire nos frais d'intérêts annuels jusqu'à 90 M$ à l'avenir."

"Selon d'imminentes modifications du droit fiscal britannique, qui devraient être introduites prochainement et qui plafonneront la déductibilité des intérêts à un pourcentage du BAIIDA, à notre niveau actuel de bénéfices avant impôt, les intérêts sauvegardés ne seraient plus déductibles des impôts", conclut Carey.

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