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Lotus - Comment peut-on être responsable de la situation économique ?

Omniprésent depuis que les discussions sur le modèle économique et politique de la Formule 1 sont au cœur des préoccupations, Gérard Lopez a fait part de sa colère vis-à-vis de propos tenus par Bernie Ecclestone

Omniprésent depuis que les discussions sur le modèle économique et politique de la Formule 1 sont au cœur des préoccupations, Gérard Lopez a fait part de sa colère vis-à-vis de propos tenus par Bernie Ecclestone. Le grand argentier de la F1 a dernièrement estimé que les équipes en difficulté étaient les premières responsables de leur situation car elles dépensaient trop d'argent par rapport à leurs moyens initiaux. Il n'en fallait pas moins pour agacer le team principal de Lotus F1.

L'homme d'affaires luxembourgeois a rappelé que l'argent dépensé était inévitable compte tenu des coûts trop élevés, notamment avec l'arrivée des nouvelles unités de puissance cette saison.

"Nous ne contrôlons pas les coûts de base", insiste-t-il. "Je peux seulement décider de faire moins d'ailerons, ce que nous faisons. Mais je ne peux pas décider du [coût du] moteur, qui est de 40 millions d'euros. Je ne peux pas décider de changer ça. J'ai en effet voté contre les [nouveaux] moteurs, alors comment puis-je être responsable de cette situation ?"

Lopez estime que le regard qui est porté sur les intentions des petites équipes est faussé. Il souligne le fait que ces équipes – dont Lotus – n'ont initialement pas demandé à toucher plus d'argent, mais à en dépenser moins via un procédé de réduction des coûts.

"Le doigt devrait être pointé sur les autres équipes qui ne veulent pas changer le système", s'agace Lopez. "Personne ne parle de ça. Personne ne parle du fait que nous n'avons pas demandé plus d'argent : nous avons demandé moins de coûts. Et maintenant nous sommes pointés du doigt pour résoudre cela différemment."

Malgré cette situation difficile, Lopez ne perd pas espoir de voir des solutions qui lui conviennent être mises sur la table.

"Je ne suis pas résigné, nous verrons bien. L'avenir nous le dira. Le sport ne va pas exactement bien. Nous verrons ce qui arrivera. On a 900 millions de dollars qui arrivent dans le sport, je ne vois toujours pas pourquoi nous perdons des équipes."

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