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Magnussen s'attend à un DRS plus efficace en 2017

En raison de la nouvelle réglementation technique, les Formule 1 de 2017 produiront environ 40% d'appui aérodynamique en plus, ce qui n'a pas manqué d'inquiéter les observateurs quant aux dépassements.

Kevin Magnussen, Renault Sport F1 Team RS16 envoie des étincelles dans les airs

XPB Images

Kevin Magnussen, Renault Sport F1 Team RS16 et Felipe Nasr, Sauber C35
Kevin Magnussen, Renault Sport F1 Team R.S.16
Kevin Magnussen, Haas F1 Team
Kevin Magnussen, Renault Sport F1 Team RS16
Kevin Magnussen, Haas F1 Team
Kevin Magnussen, Renault Sport F1 Team R.S.16
Kevin Magnussen, Haas F1 Team

En effet, si les F1 produisent davantage d'appui, elles peuvent éprouver plus de difficultés à se suivre de près, en raison des turbulences provoquées par le passage d'un bolide dans l'air. Kevin Magnussen n'est toutefois vraiment pas inquiet, estimant que le DRS sera la solution à ces maux.

"Le DRS devrait avoir un effet plus grand que l'an dernier, étant donné qu'il y a plus d'appui et de traînée sur l'aileron arrière", souligne le nouveau pilote Haas. "Quand on ouvre le DRS, cela devrait faire une différence plus grande par rapport à la voiture de devant, donc il y a des choses qui laissent penser que les courses seront meilleures. Avec plus d'appui, on imaginerait que ce sera dur de rester près de la voiture de devant, mais il faut attendre de voir."

Plus d'attaque ?

Avec des monoplaces qui seront largement plus rapides que la génération précédente, des records vont être battus. Magnussen espère que les pilotes pourront attaquer davantage. En effet, la gestion du carburant et des pneus sont devenus des facteurs cruciaux ces dernières années.

"Je suis très enthousiaste, car c'est bien pour nous d'avoir des voitures plus rapides", poursuit le Danois. "Nous voulons attaquer, aller vite et être à la limite. Avec la dernière génération de voitures, l'adhérence était très faible et la puissance était très élevée par rapport à l'adhérence. On était à la limite en permanence, dès qu'on sortait des stands."

"Donc ce sera bien de piloter une voiture qui nous pousse à trouver la limite au lieu de chercher un compromis avec les pneus, l'aéro, l'équilibre, etc. J'espère que ce sera plus difficile de trouver la limite."

D'un point de vue physique, les monoplaces plus rapides vont grandement solliciter les pilotes, d'autant que c'est dans les virages qu'environ cinq secondes vont être gagnées par rapport à 2016. Aussi Magnussen porte-t-il une attention toute particulière à sa préparation physique.

"Je dois m'imaginer que les voitures seront extrêmement dures à piloter. Donc je suis très motivé pour mon entraînement physique, car j'ai le sentiment que ça pourrait faire une vraie différence. Ce n'est pas que deux heures sur un vélo ou sur un tapis roulant, c'est vraiment un entraînement dur, mais j'apprécie ça", conclut-il.

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