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McLaren - 5 succès monégasques par décennie et aucun depuis 2008

Le joyau de la couronne qu’est le Grand Prix de Monaco se refuse à McLaren depuis sa victoire 2008

Le joyau de la couronne qu’est le Grand Prix de Monaco se refuse à McLaren depuis sa victoire 2008. Cinq éditions sans succès, donc. Pourtant, le circuit de la Principauté a toujours généreusement récompensé les troupes de Woking, qui y ont signé 5 succès dans les années 2000, 5 dans les années 1990 et…5 dans les années 1980 ! Le chiffre 5 revient régulièrement chez McLaren : 5 des 15 succès de McLaren furent en effet acquis à Monaco avec Ayrton Senna ! Button, qui mènera les efforts de l’équipe cette année encore, est un vainqueur à Monaco, mais pas avec le team : son succès date de 2009, avec Brawn GP.

Monaco est le tracé le plus court de la saison F1, mais est également l’un des plus difficiles du calendrier. Les barrières, toujours très proches des roues des pilotes, ne pardonnent rien, et ne font qu’ajouter au prestige d’une victoire. En dépit d’une vitesse moyenne extrêmement faible (113 km/h pour Rosberg, vainqueur en 2013), Monaco représente un défi de pilotage unique au monde, les pilotes devant s’affranchir de près de 4000 changements de vitesses sur le seul GP de 78 tours…

La piste n’a que très peu changé depuis sa proposition par l’entrepreneur français Antony Noghes au Prince Rainier de Monaco, en 1928. Le premier GP de Monaco se tint en avril de l’année suivante, et était déjà un incontournable au moment de la création du championnat du monde de Formule 1, en 1950.

L’an dernier, l’essentiel de la piste de 3.340km a été re-surfacée, ce qui fait que l’asphalte dispose encore de caractéristiques glissantes. Quelques bosses ont disparu, mais les irrégularités majeures propres au tracé urbain demeurent au menu et ont vite fait de déstabiliser les pilotes au freinage ou sur la relance. Une précision chirurgicale reste nécessaire pour venir à bout du tour de façon performante.

A Monaco, ce sont la traction et le grip mécanique à basse vitesse qui priment pour espérer faire la différence. Néanmoins, Monaco est encore de nos jours un tracé de « pilotes », où il est possible de faire la différence en prenant le petit plus de risque ou en adoptant un ‘rythme’, indispensable pour être devant. Comme tous les ans, Pirelli proposera cette année les deux composés les plus tendres de sa gamme, avec le P Zero Tendre et le P Zero Supertendre.

Le record du tour en course demeure au crédit de Michael Schumacher : en 2004, l’Allemand a fait tourner sa Ferrari en 1’14.439s (161.528km/h de moyenne). La pole 2013 a été établie par Nico Rosberg (Mercedes), en 1’13.876s (162.759km/h).

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