Sign up for free

  • Get quick access to your favorite articles

  • Manage alerts on breaking news and favorite drivers

  • Make your voice heard with article commenting.

Motorsport prime

Discover premium content
S'abonner

Edition

Suisse
Actualités

McNish favorable à l'indulgence des commissaires

Les pénalités infligées par les commissaires sportifs durant les Grands Prix devraient être moins nombreuses cette année, puisque le Règlement Sportif de la Formule 1 a été modifié en janvier.

Contact entre Fernando Alonso, McLaren MP4-31 et Felipe Massa, Williams FW38

Photo de: Jose Mario Dias

Nico Rosberg, Mercedes AMG F1 W07 Hybrid reprend la piste après un contact au premier virage
Allan McNish, BBC F1
Contact entre Daniil Kvyat, Scuderia Toro Rosso STR11, et Kevin Magnussen, Renault Sport F1 Team RS16
Contact entre Lewis Hamilton, Mercedes AMG F1 W07 Hybrid, et Nico Rosberg, Mercedes AMG F1 W07 Hybrid, au premier virage
Allan McNish
Nico Rosberg, Mercedes AMG F1 W07 Hybrid reprend la piste après un contact au départ
Lewis Hamilton, Mercedes AMG F1 Team W07 après un contact avec Valtteri Bottas, Williams FW38

L'article 38.2 a) stipule désormais que les commissaires doivent infliger une pénalité uniquement s'il est "clair" qu'un pilote est "totalement ou principalement responsable d'un incident".

Pour Allan McNish, qui a plusieurs fois occupé le rôle de commissaire-pilote auprès de la FIA sur les Grands Prix, cette mesure va dans le bon sens. L'Écossais précise qu'il était important d'infléchir la position des commissaires à travers une modification du règlement, rappelant qu'ils sont chargés d'appliquer ce que disent les textes officiels.

"Je connais très bien les commissaires", explique McNish à Motorsport.com. "Je ne pouvais pas continuer à le faire en raison de mon travail pour la télévision, mais ils évoluent toujours et regardent ce que dit le règlement. Je pense que nous devons nous souvenir d'une chose : les commissaires peuvent seulement appliquer les règles qui sont en place. Donc si une règle dit que si un pilote fait telle chose, il y a une pénalité, ils ne peuvent rien y changer."

"Ils ont eu beaucoup de mal avec ça, mais c'est peut-être la règle qui doit être adaptée, pas les commissaires. Et le commissaire-pilote peut apporter une certaine clarté. De manière générale, je pense que c'est une bonne chose."

"Les commissaires ont poussé la FIA et tout le monde à avoir un petit plus d'indulgence, et je crois que c'est une bonne chose, car nous voulons voir de la course ; parfois ça fonctionne, parfois pas. Nous avons vu des contacts et des accrochages. Mais c'est ça la course."

La dernière chose que veut un commissaire, c'est donner une pénalité.

Allan McNish

McNish se souvient notamment de l'accrochage survenu entre Nico Rosberg et Kimi Räikkönen lors du Grand Prix de Malaisie 2016. Le pilote allemand avait été sanctionné après un dépassement sur le Finlandais, qui ne s'était pas fait sans contact. 

"Il a pris une pénalité, c'était malheureux mais c'est ce que les règles disaient à ce moment-là", précise McNish. "Désormais, ça a changé et ça devient un petit peu mieux pour tout le monde, je pense, y compris pour les commissaires, car la dernière chose que veut un commissaire, c'est de stopper une bagarre en piste en donnant une pénalité. Ce sont aussi des fans. Ils regardent ça comme des fans depuis leur position. Et de ce point de vue, je pense que c'est une bonne chose et que c'est un processus évolutif." 

Propos recueillis par Federico Faturos

Be part of Motorsport community

Join the conversation
Article précédent Débat F1 2017 : quelle lutte pour le titre mondial ?
Article suivant Débat F1 2017 : que peut faire McLaren-Honda ?

Top Comments

Il n'y a pas de commentaire pour le moment. Souhaitez-vous en écrire un ?

Sign up for free

  • Get quick access to your favorite articles

  • Manage alerts on breaking news and favorite drivers

  • Make your voice heard with article commenting.

Motorsport prime

Discover premium content
S'abonner

Edition

Suisse