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Mercedes n'avait pas "les bonnes armes" à Spa et Monza

Mercedes s'attendait à souffrir à Spa et Monza, où Ferrari l'a emporté par deux fois, même si cet état de fait n'a pas empêché une pointe de déception de s'emparer du clan allemand à l'heure du bilan.

Lewis Hamilton, Mercedes AMG F1 W10, devant Valtteri Bottas, Mercedes AMG W10

Lewis Hamilton, Mercedes AMG F1 W10, devant Valtteri Bottas, Mercedes AMG W10

Joe Portlock / Motorsport Images

À Monza comme à Spa, Mercedes a finalement subi la loi de Ferrari, qui a ouvert son compteur de victoires en 2019 grâce à Charles Leclerc. Par deux fois, le Monégasque est parvenu à tenir tête aux Flèches d'Argent, sur des tracés qui étaient taillés pour les caractéristiques de la SF90. À l'inverse, le constructeur allemand avait une monoplace moins à l'aise sur ces pistes à haute vitesse, mais en avait parfaitement conscience.

Et même sans succès, cela n'a pas empêché de limiter la casse avec pas moins de 67 points pris sur ces deux Grands Prix redoutés par l'écurie de Brackley. À tel point qu'il y a même eu de la déception à échouer si près de la victoire en Belgique et en Italie. "Nous savions que nous n'avions pas le bon package pour Spa et Monza", concède toutefois Toto Wolff, directeur de Mercedes. "En fait, deuxième et troisième c'était le résultat optimal pour nous sur la grille, et j'avais dit avant que nous si nous terminions la course à ces positions, nous étions preneurs."

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"Au final, vu que nous sommes des compétiteurs, il y a bien sûr un sentiment qui n'est pas celui d'être totalement satisfait", tempère l'Autrichien. "On essaie de suivre une voiture, le DRS est grand ouvert, il y a une longue ligne droite, et on ne peut pas se rapprocher pour autant. Cela donne évidemment l'impression de ne pas se battre avec les bonnes armes ici. Mais je ne veux rien enlever à Ferrari et à Charles. Ils avaient le package le plus fort et un jeune homme avec un grand avenir, et un pilotage rude. Il faut leur en donner tout le crédit."

Mercedes avait le bénéfice de se retrouver rapidement à deux contre un face à Leclerc, suite aux mésaventures de Sebastian Vettel dès le début de course, mais cela n'a pas payé. Pas plus que le choix porté sur les pneus mediums pour le second relais alors que le pilote Ferrari était en pneus durs : un choix qui n'a pas été un facteur déterminant selon Wolff. 

"Nous avions parlé des pneus durs dans la matinée, mais nous ne les avions vus qu'avec Charles, et ce composé était vraiment hors du rythme sur les longs relais vendredi", précise le patron de Mercedes. "Il faisait plus chaud le jour de la course, donc le pneu [dur] était bon, mais je pense franchement que notre rythme avec les mediums était bien plus rapide. Je ne sais pas à quel point plus rapide que Charles. Si l'on peut suivre quelqu'un en étant pendant de nombreux tours dans sa boîte de vitesses, comme Lewis l'a fait, et que l'on ne peut pas dépasser uniquement parce qu'il en manque en vitesse de pointe, c'est que le pneu medium était le meilleur."

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