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Mika Häkkinen raconte l'avènement des circuits modernes

Mika Hakkinen

Mika Hakkinen

XPB Images

Mika Häkkinen attent que la fête commence
David Coulthard et Mika Häkkinen
Mika Häkkinen
Mika Häkkinen
Mika Häkkinen
Mika Häkkinen avec Ron Dennis
Mika Häkkinen
Mika Hakkinen et Kimi Raikkonen

En 2015, le double Champion du Monde 1998 et 1999 Mika Häkkinen se raconte en détail au travers de récits publiés sur le site officiel de l'écurie McLaren. Motorsport.com vous en propose la traduction française au fil des semaines, afin de ne pas manquer une miette de l'histoire de ce grand Monsieur de la Formule 1.

Le Finlandais revient cette fois sur les débuts du circuit de Sepang en Malaisie, le premier tracé moderne dessiné par Herman Tilke. Häkkinen y a roulé à trois reprises avant de s'éloigner des circuits de Formule 1.

"Le circuit de Sepang est le seul des tracés nouvelle génération sur lequel j'ai couru en Formule 1, puisque j'avais déjà quitté la discipline lorsque sont apparus les Grand Prix de Bahreïn, de Turquie, d'Abu Dhabi, de Corée de Sud ou encore le Grand Prix d'Inde.

C'est en 1999 que le Grand Prix de Malaisie est apparu au calendrier, soit l'année de mon deuxième et dernier titre de Champion du Monde. Je m'en souviens comme d'une course vraiment épuisante. Cette année-là, je me suis qualifié en quatrième position et j'ai terminé la course à la troisième place, contrarié tout du long par un magistral Michael Schumacher.

Il avait terminé deuxième pour son retour, laissant Eddie Irvine, son équipier, remporter le Grand Prix. Mais heureusement, j'ai décroché le titre 1999 devant Michael et Eddie, quinze jours plus tard à Suzuka, en remportant le Grand Prix du Japon.

Silverstone, Spa ou Monza puent vraiment l'histoire, dans le bon sens du terme.

Mika Häkkinen

L'année suivante en 2000, j'ai terminé quatrième à Sepang, après avoir mené la course dès le départ. En 2001, je n'ai terminé que sixième. Je n'ai donc jamais connu de grande joie en Malaisie, même si je peux toujours me consoler avec les meilleurs temps au tour réalisés là bas en 2000 et 2001.

Lorsque je suis arrivé sur ce circuit en 1999, j'ai immédiatement identifié le style des nouveaux circuits. C'était le premier tracé dessiné par Herman Tilke, et il y avait inscrit sa marque de fabrique : une longue ligne droite suivie d'un virage très serré. Il y a aussi une piste très large, composée par un asphalte très lisse, de longs virages radicaux, qui ne donnent pas droit à l'erreur. Tout cela représente bien le travail de l'ingénieur allemand.

En 1999, c'était une grande nouveauté. C'était le point de départ de la nouvelle génération. Auparavant, nous courions sur des circuits plus anciens, plus étroits, souvent beaucoup plus bosselés, et majoritairement sur le continent européen.

Je songe évidemment à des circuits classiques tels que Silverstone, Spa-Francorchamps ou Monza, qui puent vraiment l'histoire, dans le bon sens du terme. Il y avait aussi d'autres lieux très agréables comme Estoril, que l'on oublie souvent. Imola était aussi très bien, tout comme Magny-Cours. J'ai de bons souvenirs dans chacun de ces endroits."

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