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Montezemolo - "Le mieux est de ne pas trop en dire" sur Ferrari

Selon les uns -comme Bernie Ecclestone-, Ferrari, dont les deux têtes dirigeantes sont Sergio Marchionne et Maurizio Arrivabene, doit redevenir une équipe italienne.

Ferrari SF16-H

Photo de: Ferrari Media Center

Kimi Raikkonen, Ferrari SF16-H
Kimi Raikkonen, Ferrari SF16-H
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Ferrari SF16-H
Volant de Sebastian Vettel, Ferrari SF16-H

Selon d’autres, comme Flavio Briatore, le team de Maranello s’aiderait grandement en ouvrant son champ de vision sur l’international, en ouvrant notamment une base au Royaume-Uni, où il serait plus simple de recruter du staff hautement qualifié ou éviter la perte de certaines têtes pensantes comme James Allison.

C’est effectivement dans un certain paradoxe qu’évolue Ferrari, qui est en vérité encore une équipe très italienne dans son management et sa localisation, mais logiquement internationale comme toute structure sportive de haut niveau. Si personne ne se soucie de savoir si Red Bull Racing ou Renault, qui opèrent de Grande-Bretagne avec des racines respectivement autrichiennes et françaises, devraient être plus ou moins "imbibées" d’une certaine veine nationale, la politique n’est jamais loin lorsqu’il s’agit de Ferrari.

Et même Luca di Montezemolo, lorsqu’il jure ne rien vouloir commenter ou sous-entendre sur le sujet, lâche ce qu’il faut de glose pour apporter un peu de piment !

"Ferrari ne va pas abandonner ni agiter le drapeau blanc mais ils ne sont que la troisième force. J’adore Ferrari, alors le mieux est de ne pas trop en dire", commente-t-il ainsi à la Gazetta dello Sport.

Le fier Italien, qui représente désormais la candidature de Rome aux Jeux Olympiques 2024, prend garde à ne pas sembler trop satisfait des difficultés rencontrées par Ferrari, globalement similaires à celles récoltées lors de son management. Mais le naturel prend parfois le dessus. 

"Je ne parle pas de Ferrari, à part pour dire que cela me réjouit que Marchionne clame qu’il y a des gens formidables au sein de la compagnie. En fait, ils étaient même là il y a deux ans, comme ce sont les gens que j’ai mis en place !"

L'audace d'une nouvelle monoplace en 2016

Troisième force mathématique du championnat, Ferrari semble devoir trouver des progrès rapides pour espérer contrer la montée en puissance de Red Bull Racing.

"Notre voiture 2016 représente un gros pas en avant; elle résulte d’un design complètement nouveau. Mais c’est aussi une voiture très sensible, difficile à régler, qui a encore beaucoup à offrir", a commenté Arrivabene pour Motorsport.com.

"Je suis certain qu’avec le travail que nous faisons, nous démontrerons son plein potentiel. C’est un pur-sang : difficile à apprivoiser, avec lequel il faut encore entrer en contact. Mais avec certaines petites choses, elle peut être à 100%."

Le fait est que le temps presse désormais, et qu'un programme de conception avec des règles 2017 très différentes s'ajoute à celui de développement de l'auto 2016. L’agitation à Maranello n’est actuellement que renforcée par la pression exercée par le Directeur Général Sergio Marchionne, pour qui le succès de Ferrari en piste est primordial pour pouvoir véhiculer l’image de prestige et performance de Ferrari sur les agressives ventes de supercars routiers et produits dérivés.

Derrière la stabilité apparente du line up de pilotes renouvelé pour la saison 2017, le team a connu un été agité en interne, avec le départ de James Allison pour ses raisons personnelles et l’incapacité de proposer un programme attractif à un Ross Brawn courtisé comme consultant de luxe, à l’image de Newey chez Red Bull.

 

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