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Montoya - La F1 doit aller plus vite et être plus serrée

Juan Pablo Montoya et Michael Schumacher

Juan Pablo Montoya et Michael Schumacher

Eric Gilbert

Lewis Hamilton, Mercedes AMG F1 Team
Felipe Massa, Williams FW37 mène la course devant Valtteri Bottas, Williams FW37 et Lewis Hamilton, Mercedes AMG F1 W06
Juan Pablo Montoya
Juan-Pablo Montoya
Juan Pablo Montoya devant Ralf Schumacher

Juan Pablo Montoya a quitté la F1 en 2006 pour réorienter sa carrière aux Etats-Unis. Après de nombreuses années passées en NASCAR, le Colombien a retrouvé l'IndyCar avec succès cette année, s'imposant aux 500 Miles d'Indianapolis pour la seconde fois de sa carrière. Il est toujours leader du championnat à l'heure actuelle.

Celui qui compte 7 victoires et 13 pole positions en F1 garde un œil sur la discipline, même s'il l'a souvent critiquée et n'a jamais regretté le fait de l'avoir quittée. Tandis que la F1 fait l'objet de nombreuses discussions et de débats parfois enflammés depuis l'introduction des nouvelles motorisations, Montoya estime que la nouvelle technologie n'est pas le point à blâmer.

"Les voitures doivent être un peu plus rapides. Mais je crois que nous devons reprendre depuis le début : c'est une technologie incroyable. Le problème est que je ne crois pas que les fans comprennent cette technologie. L'idée d'un moteur plus petit est bonne", explique Montoya dans une interview publique en marge du Conseil Mondial de la FIA au Mexique.

Augmenter le fossé avec les formules de promotion

L'ancien pilote Williams et McLaren pointe davantage du doigt ce qu'il considère comme une absence de difficulté pour piloter en F1, avec un fossé qui n'est plus suffisamment important avec les formules de promotion les plus compétitives.

"Je crois qu'ils ont également limité de manière correcte la façon dont les jeunes pilotes peuvent accéder à la discipline", souligne-t-il. "Les raisons pour lesquelles il y a toute cette échelle de séries est de pouvoir se construire en tant que pilote, afin d'être prêt quand une chance se présente. Désormais, on saute dedans très jeune, après avoir fait une année de course automobile. Ils ne trouvent pas les F1 difficiles à piloter. Quand j'en faisais, la F1 était 10 à 12 secondes plus rapide qu'une GP2, donc l'écart était énorme."

De l'adhérence et de la bagarre

Sur le plan technique, la F1 se cherche un nouveau règlement pour améliorer les performances et rendre les courses plus spectaculaires à partir de 2017. Montoya, lui, sait ce qu'il améliorerait en priorité sur ce plan.

"Beaucoup plus de grip, mais du grip qui permet de suivre les autres", lance-t-il. "Je crois que la plus grosse difficulté en F1 est toujours que les voitures sont tellement efficaces que c'est très difficile de suivre quelqu'un. La course n'est pas assez serrée."

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