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Moteurs 2026 : la F1 pense pouvoir échapper au cycle des constructeurs

Les dirigeants de la Formule 1 assurent que le Championnat du monde sera épargné par le cycle d'allées et venues des grands constructeurs automobiles lors des prochaines années grâce à la mise en place d'un nouveau règlement moteur en 2026.

Zhou Guanyu, Alfa Romeo C42, Liam Lawson, AlphaTauri AT03, Mick Schumacher, Haas VF-22, et le reste des monoplaces sortent des stands après le drapeau rouge

Zhou Guanyu, Alfa Romeo C42, Liam Lawson, AlphaTauri AT03, Mick Schumacher, Haas VF-22, et le reste des monoplaces sortent des stands après le drapeau rouge

Andy Hone / Motorsport Images

En 2026, année où entreront en vigueur de nouvelles règles moteur, deux grands constructeurs allemands s'engageront en catégorie reine. Audi a été la première marque à confirmer sa participation, l'officialisation de Porsche tarde quant à elle après l'échec des négociations avec Red Bull. Cinq grands constructeurs automobiles pourraient figurer en catégorie reine dans moins de quatre ans : Mercedes, Ferrari, Renault, Audi et Porsche.

Néanmoins, l'histoire de la course automobile a maintes et maintes fois prouvé qu'un tel nombre était difficile à maintenir sur le long terme puisque seul un peut triompher, ce qui finit par décourager les perdants. Mais Stefano Domenicali, PDG de la F1, et Mohammed Ben Sulayem, président de la FIA, ont confiance. Selon eux, la manière dont le règlement moteur a été élaboré et la stabilité financière offerte par le budget plafonné devraient suffire à convaincre les grands constructeurs de rester même si leurs résultats en piste ne donnent pas immédiatement satisfaction.

"Je pense que dans l'histoire de la F1, nous avons vu des équipes s'engager et s'en aller, et des constructeurs s'engager et s'en aller", a déclaré Domenicali. "La beauté dans le choix que nous avons fait ensemble, c'est que nous sommes totalement convaincus que c'est le bon [choix] techniquement parlant et, du point de vue technologique, durable et économique, il permettra d'avoir et de garder à bord les équipes et les constructeurs. Aussi, d'ajouter d'autres éléments à cette équation."

"En ce moment, si l'on regarde la durée des cycles, je pense que nous sommes totalement [sur la pente ascendante]. Et il faudra attendre très longtemps, en espérant le plus tard possible, [avant de passer] de l'autre côté. Mais maintenant, tout va bien, c'est une bonne tendance."

Stefano Domenicali, PDG de la Formule 1, avec Mohammed Ben Sulayem, président de la FIA, Oliver Hoffmann, patron du développement d'Audi Sport GmbH, Markus Duesmann, président du conseil d'administration d'Audi AG

Ben Sulayem a quant à lui expliqué que cet optimisme général était nourri par la volonté d'écrire un règlement moteur à la fois viable pour les grands constructeurs actuels et pour les nouveaux candidats.

"Je suis convaincu que la durabilité des motoristes sera assurée", a-t-il déclaré. "Nous avons beaucoup investi à l'époque pour que l'unité de puissance soit bonne. Les négociations ont porté sur les heures [d'essais] sur le banc, sur le plafonnement des coûts, sur tout. Nous avons donc fait en sorte que les deux parties, les fabricants existants et les nouveaux arrivants, aient leur chance. Nous avons travaillé avec toutes les parties prenantes. Je suis donc convaincu qu'ils sont là pour rester, il ne s'agit pas de quelque chose de temporaire."

Le président de la FIA a également estimé que l'attention d'Audi et de Porsche n'aurait pu être attirée si le règlement moteur actuel avait été conservé. "Si nous [la FIA] n'avions pas changé l'unité de puissance, nous n'aurions pas donné l'opportunité à de nouvelles équipes de venir", a-t-il ajouté.

"Impossible qu'un grand constructeur vienne en tant que fournisseur d'unité de puissance s'il n'a pas une chance. Personne ne viendrait pour être humilié. Il y a eu beaucoup de hauts et de bas dans les négociations, en collaboration constante avec Audi, avec les équipes et avec Stefano. Les résultats sont fructueux."

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