Les tambours de freins avant des Mercedes W08 sont entièrement fermés afin de conserver la chaleur des freins.
Un châssis Mercedes W08 repose sur des supports afin que les mécanos terminent son assemblage.
Les W08 sont munies de l’aileron arrière en forme de cuillère, solution qui avait été abandonnée depuis quelques Grands Prix. Cet aileron devrait donner de bons résultats sur ce tracé à appui moyen.
Une des deux Red Bull RB13 en cours d’assemblage.
Williams utilise des écopes de freins modifiées. On note la forme révisée de la cloison verticale et l’apparition d’une ouïe d’entrée d’air. Cette solution est destinée à mieux alimenter les freins en air frais.
Williams utilise un T-wing relativement simple ici à Montréal afin qu’il génère une peu moins de traînée.
Notez la large échancrure dans le tambour qui permet à l’air de circuler entre le tambour et le flanc interne du pneu. La voiture est aussi munie d’un essieu soufflant qui sera évalué vendredi.
On peut apercevoir par la trappe du châssis l’amortisseur d’anti-pilonnage et les rondelles de Belleville.
Ferrari a apporté un nouvel aileron arrière à Montréal. On remarque son plan principal et son volet en forme de cuillère. Les dérives latérales sont munies de persiennes ouvertes. La Scuderia a aussi adopté un T-wing plus simple, composé d’un seul élément et non pas de deux comme en Espagne. On note aussi le retour du monkey seat recouvert d’une pellicule protectrice vu avant Monaco. Il génère moins d’appui, mais surtout un peu moins de traînée.
Vue du tambour de frein avant de la Ferrari SF70H avec ses trois ouvertures en forme de goutte d’eau destinées à évacuer l’air chaud et une petite trappe d’accès au-dessus. Notez aussi les dérives latérales échancrées utilisées par Ferrari depuis l’Espagne.
Vue du plancher et de déflecteurs de pontons de la Ferrari, ainsi que le rebord courbé du bord d’attaque du plancher. Cette section ressemble fort à celle des autres voitures, mais on peut noter une échancrure là où le plancher rejoint son extension avant. Vers l’arrière, on remarque le faux plancher échancré dont on a beaucoup parlé depuis quelques Grands Prix et qu’on a vu flotter lorsque la voiture roule à fond.
Détails de l’avant du châssis et de la suspension de la Force India VJM10.
Vue de l’assemblage de freins de la Force India. Remarquez la présence d’un puits de chaleur ; cette plaque métallique fixée au-dessus du freins. Ce puits sert à transférer beaucoup de chaleur produite par les freins vers les roues et les pneus.
Détails du châssis et de la suspension de la Sauber C36.
Disque de frein avant de la Sauber C36 avec six orifices de ventilation (en largeur) afin d’assurer un refroidissement adéquat.
Notez la canalisation du S-duct logée à l’avant du châssis, juste derrière les cylindres de liquide de freins.
Disque de frein avant de la Toro Rosso STR12 avec six orifices de ventilation.
Voici l’autre version des freins avant de la Renault avec un disque muni de cinq orifices de ventilation disposés en ligne. Les orifices, de plus grand diamètre, servent à évacuer la chaleur du disque.
Notez le disque muni d’orifices de ventilation disposés en chevrons.
Vue du châssis, de la suspension avant et les réservoirs de liquide de freins de la Renault RS17.
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