L'obscur comeback ayant lancé l'odyssée de Jordan en F1
Avant que Bertrand Gachot, Andrea de Cesaris ou encore Michael Schumacher ne pilotent la Jordan 191, Eddie Jordan s'est d'abord tourné vers un Nord-Irlandais. John Watson, victorieux avec Penske et McLaren en F1, évoque son rôle dans la création d'une légende.
J'ai rencontré Eddie Jordan pour la première fois lorsqu'il courait en Formule 3. En 1980, il a forcé Philip Morris [société-mère de Marlboro, ndlr] à le mettre au volant d'une Formule 1 McLaren, lors d'un meeting à Brands Hatch. On m'a dit d'y aller, de prendre le volant et ensuite de le laisser à Eddie pendant cinq ou dix tours. Je n'ai montré aucun intérêt, ça me faisait chier.
J'étais très souvent à Silverstone à la toute fin des années 1980 parce que nous y avions le John Watson Performance Driving Centre. À l'heure du déjeuner, on trouvait EJ [Eddie Jordan], Bosco Quinn [directeur général], Trevor Foster [directeur d'équipe] et d'autres dans la cafétéria. J'ai fini par nouer une relation.
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