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Pas de favoritisme pour ART Grand Prix

Actuellement en GP2, ART Grand Prix voit grand et voudrait passer la vitesse supérieure en espérant faire son entrée en Formule 1 dès la saison prochaine

Actuellement en GP2, ART Grand Prix voit grand et voudrait passer la vitesse supérieure en espérant faire son entrée en Formule 1 dès la saison prochaine.

Et le patron de l'équipe française, Nicolas Todt, n'est autre que le fils du président de la FIA, Jean Todt. De là à penser que ART Grand Prix pourrait être favorisée, il n'y a qu'un pas que certains ont déjà franchi.

Mais le jeune français pense au contraire qu'il va falloir à son écurie un dossier encore plus solide que les autres pour pouvoir séduire la Fédération Internationale de l'Automobile.

"Mon père est tout sauf bête. À nous de faire les choses encore mieux que mieux pour ne pas prêter le flanc à la critique. Notre dossier devra être mieux ficelé que tous les autres, car je n’attends aucun cadeau de la FIA, bien au contraire…" a-t-il confié à Auto Hebdo.

Bien qu'elle se porte candidate pour une place en F1, Todt précise que ART Grand Prix ne devrait pas mettre un terme à ses autres activités : "Nous continuerons nos activités présentes. Pas question de se mettre à nu pour la F1. Il y aura d’ailleurs quelques synergies entre les différentes disciplines, notamment au niveau de la logistique humaine."

"Je n’ai pas envie d’arriver au 1er GP en me disant : 'Ok, on fait cette saison avec l’argent que l’on a dans la poche, on draguera bien quelques sponsors !' On ne va pas loin avec cette mentalité, et ce ne sont pas les revenus de la FOM, faibles la première année, qui nous aideront. Trouvons le financement pour deux-trois ans, faisons au mieux et, éventuellement, les sponsors viendront."

Todt, qui est actuellement le manager du pilote Ferrari Felipe Massa mais aussi du jeune français Jules Bianchi, qui court actuellement en GP2 chez ART Grand Prix, ne cache pas ses envies d'une écurie française avec un pilote français.

"Équipe française avec pilote(s) français ? Ce serait encore plus agréable. Et encore mieux si des partenaires techniques français se manifestaient. La France a un énorme réservoir d’entreprises et de talents humains de très haut niveau. Il y aurait certainement de quoi montrer aux Anglais ce dont nous sommes capables."

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