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Pérez : "Je suis arrivé au pire moment chez McLaren"

En une demi-saison, Sergio Pérez a déjà fait mieux qu’en 2013

En une demi-saison, Sergio Pérez a déjà fait mieux qu’en 2013. Pourtant, le pilote mexicain roulait pour un top team l’année dernière, chez McLaren, qui l’a évincé au terme de l’exercice. Désormais chez Force India, l’ancien pilote Sauber revit. 29 points au compteur, c’est déjà 11 de plus que l’année passée, avec surtout un podium décroché à Bahreïn.

Force India, qui s’apparentait comme une bonne porte de sortie il y a quelques mois, se transforme aujourd’hui en pari réussi pour Pérez. Bien qu’encore irrégulier par rapport à son coéquipier Nico Hülkenberg, il se sent dans son élément avec le sentiment de pouvoir redonner le meilleur de lui-même.

« Je suis vraiment heureux ici, très à l’aise, très motivé aussi », assure Pérez à Autosport. « Quand vous avez une voiture dans laquelle vous pouvez montrer votre potentiel week-end après week-end, cela vous place juste à un autre niveau en tant que pilote. » Une sensation qui l’avait vite abandonné la saison dernière : « Je n’ai pas trouvé ça chez McLaren, en raison de la saison difficile que nous avons vécue. Je suis probablement arrivé au pire des moments possibles. »

Recruté pour pallier au départ de Lewis Hamilton chez Mercedes, Pérez n’a pas brillé avec l’écurie de Woking. Comme il le dit lui-même, son arrivée a coïncidé avec la conception d’une monoplace peu performante, qui lui a donné beaucoup de fil à retordre. Mais Pérez s’attribue également une grande part de l’échec, reconnaissant n’avoir pas adopté l’attitude adéquate dans cette situation décevante.

« Je n’ai pas agi de la meilleure manière possible car j’étais vraiment frustré », avoue-t-il. « L’une des erreurs que j’ai faite était d’être frustré plutôt que de tirer le meilleur de la situation. Quand je suis allé chez McLaren je m’attendais à me battre pour le titre et j’étais vraiment, vraiment affamé. Ensuite, j’ai réalisé que je faisais même pire que lorsque j’étais chez Sauber. »

« La voiture était si difficile à piloter durant la première partie de l’année. Ce n’était pas seulement une mauvaise voiture, c’était vraiment une voiture irrégulière, assurément la plus inconstante que j’ai eue dans ma carrière en Formule 1. C’était difficile pour moi chez McLaren, cela m’a beaucoup touché, mais j’ai appris beaucoup. Je suis certain que ça m’aidera beaucoup. »

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