Pourquoi l'arrivée de Pérez chez Red Bull est une juste récompense
L’arrivée de Sergio Pérez au sein d’une écurie de pointe, pour la seconde fois de sa carrière, sonne, à l’instar de sa victoire au Grand Prix de Sakhir, comme une juste récompense pour un des rares pilotes des années 2010 à avoir constamment existé en dehors des équipes capables de jouer régulièrement victoires et podiums.
Sans doute, de l’extérieur et même pour une frange des fans de Formule 1, le recrutement par Red Bull Racing de Sergio Pérez pour remplacer Alexander Albon n’est pas très clinquant. Le Mexicain demeure un pilote mineur à l’échelle de la F1, peu médiatisé en dehors, et finalement un peu hors des figures de proue de la discipline réduites aujourd’hui aux pensionnaires ou anciens pensionnaires victorieux des structures ayant constitué le top 3.
Mais sa trajectoire, sa constance, son récent succès à Sakhir, dont on a quelque peu l’impression que, en dépit de ce qu’il pouvait représenter, la portée a été atténuée par l’incroyable échec de Mercedes à offrir la victoire à George Russell, font de cette seconde arrivée au sein d’un top team dans sa carrière une sorte de récompense méritée, de finalité logique d’un parcours où constance et performance ont été les maîtres-mots, tant Pérez n'a cessé de montrer ce qu’il était capable de faire, remettant sans cesse le travail sur l’établi.
Share Or Save This Story
Subscribe and access Motorsport.com with your ad-blocker.
From Formula 1 to MotoGP we report straight from the paddock because we love our sport, just like you. In order to keep delivering our expert journalism, our website uses advertising. Still, we want to give you the opportunity to enjoy an ad-free and tracker-free website and to continue using your adblocker.