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Whiting : Les pilotes seuls responsables des crashs avec le DRS

Le week-end dernier, la troisième zone DRS ajoutée sur le circuit de Silverstone a beaucoup fait parler, puisqu'elle permettait aux pilotes de conserver leur aileron arrière mobile ouvert dans les deux premiers virages.

Romain Grosjean, Haas F1 Team, après sa sortie de piste

Photo de: Steven Tee / Motorsport Images

Crash de Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-18
Romain Grosjean, Haas F1 Team
Romain Grosjean, Haas F1 Team, après sa sortie de piste
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-18
Panneau DRS
Marcus Ericsson, Sauber C37
Marcus Ericsson, Sauber C37
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-18

Deux violentes sorties de piste ont eu lieu dans le premier virage. Romain Grosjean a été le premier à partir à la faute le vendredi lors des essais libres, tandis que Marcus Ericsson a été victime de la même mésaventure le dimanche en course. Dans les deux cas, le Français et le Suédois ont indiqué que leur DRS était resté ouvert suite à une erreur de leur part.

Certains pilotes comme Lewis Hamilton ont décrit la possibilité de garder le DRS ouvert dans cette courbe comme inutilement dangereuse, mais Charlie Whiting a répondu aux critiques à l'issue de l'épreuve. Le directeur de course de la FIA estime que cette zone DRS ne générait pas de danger inutile puisque les pilotes étaient libres de procéder comme ils l'entendaient.

"Je pense que les incidents lors desquels les pilotes ont perdu le contrôle au virage 1, alors qu'ils avaient le DRS ouvert, proviennent d'un choix du pilote, comme tout autre choix que l'on fait dans la voiture", argumente Charlie Whiting. "C'est comme n'importe quelle voiture qui est difficile à piloter : parfois ils essaient de passer à fond quand ce n'est pas vraiment possible, et ils partent en tête-à-queue. C'est la même chose, c'est leur choix. S'ils pensent pouvoir le faire, ils peuvent essayer. Ce n'est pas une obligation. C'est comme n'importe quel autre choix que font les équipes et les pilotes."

Charlie Whiting reconnaît en revanche que l'ajout de cette troisième zone DRS n'a pas vraiment permis de favoriser les dépassements, au contraire de ce qui avait été constaté en Autriche une semaine plus tôt. "Je ne pense pas que ça a vraiment aidé", admet-il. "L'idée était que les pilotes puissent peut-être se suivre d'un peu plus près, puis se trouvent dans une meilleure position pour attaquer en ligne droite entre les virages 5 et 6."

La semaine prochaine, le circuit de Hockenheim devrait suivre la tendance avec également une zone DRS supplémentaire. En revanche, la FIA n'envisage pas d'étudier la piste d'un retour à l'utilisation libre du DRS lors des essais et des qualifications, comme ce fut le cas en 2011.

"Je ne pense pas qu'il y ait un intérêt, car ça ne fait que produire des chronos plus rapides", précise Charlie Whiting. "Le principe du DRS était d'aider les dépassements, et permettre son utilisation dans des endroits où il peut être activé en course me semble totalement logique. Je ne serais pas favorable à un retour en arrière."

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