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Pirelli attend de vrais indicateurs sur la dégradation cette semaine

Pirelli s'attend à ce que la première véritable indication concernant les niveaux de dégradation de ses nouveaux pneus n'intervienne que cette semaine, lorsque les équipes commenceront à réaliser des chronos plus représentatifs.

Pascal Wehrlein, Sauber C36, sort des stands

Photo de: LAT Images

Lewis Hamilton, Mercedes AMG F1 W08 avec des équipements de mesure
Stoffel Vandoorne, McLaren MCL32
Un pneu Pirelli
Paul Hembery, directeur de Pirelli Motorsport
Le motorhome Pirelli
Un mécanicien du team Haas F1 lave un pneu Pirelli
Pascal Wehrlein, Sauber C36
Kevin Magnussen, Haas F1 Team VF-17

Cette année, il a été demandé au manufacturier unique de la Formule 1 de concevoir des gommes permettant aux pilotes d'attaquer davantage en course. La première semaine d'essais à Barcelone a semblé démontrer une tendance claire dans ce sens, avec une réduction conséquente de la dégradation. Cependant, Pirelli se montre prudent et ne veut pas tirer de conclusions hâtives. La firme milanaise croit notamment que les températures plus élevées que rencontreront les équipes cette saison ainsi que le développement massif pourraient changer la donne. 

Lors des quatre jours qui viennent, sur le circuit de Barcelona-Catalunya, une chute des temps au tour lorsque des équipes se concentreront sur la performance donneront une idée plus claire.

"S'ils améliorent les temps au tour de deux à trois secondes, nous devons réexaminer les chiffres en termes de dégradation", prévient Mario Isola, directeur de course de Pirelli. "J'ai entendu certains commentaires disant qu'ils sont trop réguliers et, avec les chiffres dont nous disposons maintenant [des premiers essais], c'est peut-être vrai. Mais attendons cette semaine pour voir ce qui va se passer. Si l'on améliore les temps au tour de deux secondes, la dégradation change aussi." 

Une prudence partagée par Paul Hembery, directeur de Pirelli Motorsport, qui préfère même attendre le premier Grand Prix de la saison pour y voir plus clair.

"Nous ne croyons pas avoir vu ce que l'on verra à Melbourne, et la plupart des équipes vous diront la même chose", assure-t-il. "Attendons le samedi soir à Mebourne. Il y a de la dégradation, mais je dirais aussi qu'il faut attendre de voir à Barcelone avec 20 degrés de plus et peut-être deux ou trois secondes de mieux en performance, ce qui semble être l'impression que tout le monde a."

"Trois secondes au tour, ça change complètement le scénario. Il ne faut pas regarder où nous en sommes maintenant, mais là où nous serons à la fin de la saison. Les voitures pourraient être terriblement différentes de ce qu'elles sont aujourd'hui."

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