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Pneus Pirelli - Vettel et Rosberg victimes de deux problèmes distincts

Le manufacturier italien est renforcé par de nombreux points dans son assurance du fait que les problèmes survenus sur l'auto de Vettel est la résultante d'une utilisation anormale.

Un pneu Pirelli endommagé sur la Mercedes AMG F1 W06 de Nico Rosberg, Mercedes AMG F1 lors de la deuxième séance

Photo de: XPB Images

Nico Rosberg, Mercedes après l'explosion d'un pneu
Sebastian Vettel, Ferrari SF15-T rentre aux stands avec une crevaison
Nico Rosberg, Mercedes AMG F1 W06
Sebastian Vettel, Ferrari SF15-T rentre aux stands avec une crevaison
Nico Rosberg, Mercedes AMG F1 W06
Nico Rosberg, Mercedes AMG F1 avec les médias lors de la deuxième séance d'essais
La Mercedes de Nico Rosberg

Pirelli a découvert des dommages dans plusieurs pneus après examen des enveloppes pneumatiques utilisées en course, dimanche.

Le manufacturier pneumatique cherche encore les raisons exactes ayant mené à la délamination de deux pneus en F1 (Rosberg en EL2 et Vettel en course) et d'un autre en GP3 (course 2), tout en assurant avec certitude que les défaillances rencontrées ce weekend ne sont en aucun cas liées à la construction des pneus, et que des facteurs extérieurs comme des entailles sont à pointer du doigt.

 

Coupure vs usure

Après examen de conscience, Mercedes n'a pas non plus trouvé de lien entre les pneus et les doutes concernant un possible frottement d'une pièce du fond plat contre les pneus arrière. Dans le cas de la délamination du pneu de Vettel, après 28 tours (196km) passés dans des courbes exerçant des forces intenses sur les pneus, aucune chute ou montée brutale de température n'a été détectée par Pirelli ou Ferrari avant le souci.

Des sources expliquent maintenant à Motorsport.com que Vettel et Rosberg n'ont pas été les deux seuls pilotes à rencontrer des problèmes liés aux pneus à Spa, des coupures ayant été remarquées sur plusieurs autres pneus après les essais libres. Selon ces mêmes sources, l'apparition de telles coupures en course aurait résulté en une fin similaire à celle connue par Rosberg, dont le problème n'était pas lié à l'usure, mais à une déflagration.

 

 

Pirelli avait prévenu contre le risque de coupures

Ces problèmes seraient apparus essentiellement sur les pneus arrière. Durant le weekend, Pirelli a rédigé une note de précaution à l'adresse de la FIA, stipulant que des précautions devaient être prises concernant les zones de dégagement et les vibreurs, qui furent particulièrement nettoyés entre les séances.

L'une des théories consiste ainsi à penser que certains pilotes ont pris des libertés sur le vibreur du Raidillon, ou qu'ils ont pu collecter des débris et impuretés en sortant des limites de la piste. Mais bien que Vettel soit effectivement sorti large quelques instants avant de voir son pneu se délaminer, Pirelli pense toujours que le problème particulier de l'Allemand est simplement lié à une usure due à une utilisation excessive, que nul autre pilote n'a tenté de pousser à ce stade durant tout le weekend belge.

Interrogé sur la possibilité de trouver des similitudes entre les deux incidents de Rosberg et Vettel, Paul Hembery, Directeur de Pirelli Motorsport, s'est montré catégorique : "Non. Chez Vettel, il s'agissait d'une coupure externe, d'usure pure. En regardant les images, la carcasse était toujours intacte et il s'agissait donc d'un problème d'usure. Celle de vendredi [Rosberg] était une coupure".

 

 

Un usage incorrect des pneus par Ferrari

Ce lundi, Pirelli a adressé une nouvelle communication officielle stipulant avec fermeté : "Au sujet de ce qui s’est passé hier au Grand Prix de Belgique, Pirelli souligne qu'en novembre 2013, Pirelli avait demandé à ce que des règles régissent le nombre maximum de tours pouvant être effectués avec le même train de pneumatiques, parmi d’autres paramètres ayant trait à un usage correct des pneumatiques.

Cette demande n’avait pas été acceptée. Cette proposition prévoyait une distance maximale de 50% de la distance de la course pour les pneus "prime" et 30 % de la distance de la course pour les pneumatiques "option". Si ces conditions avaient été remplies hier, à Spa, elles auraient limité le nombre de tours réalisés sur les pneus « médiums » à 22".

Le chiffre limite de 40 tours, également cité par Paul Hembery à chaud ce weekend, fait référence à 40 tours d'un tracé de longueur traditionnelle, soit environ 160-170km.

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