Pourquoi la survie du GP de Monaco n'est pas menacée
Les avis sont divisés sur la place du Grand Prix de Monaco au sein du calendrier de la Formule 1. Néanmoins, l'épreuve continue d'offrir un défi unique pour les pilotes et les équipes.
Le Grand Prix de Monaco est réputé pour offrir des courses lénifiantes. La piste étroite, les monoplaces larges, lourdes et sensibles à "l'air sale", et les pneus à forte dégradation forment un parfait cocktail d'ennui. Sauf rares exceptions, tous les ans, les spectateurs du monde entier ont droit à une procession longue de deux heures. Et tous les ans, une éternelle question refait surface dès la fin du week-end de course : est-ce que Monaco mérite de rester en F1 ?
Bien que je sois le premier à soutenir tout changement de tracé pour augmenter les opportunités de dépassement, la valeur du Grand Prix de Monaco sort du simple cadre de la course du dimanche après-midi. Si l'on proposait un Grand Prix où cinq équipes différentes s'élanceraient depuis les cinq premières places sur la grille, où l'auteur surprise de la pole position connaîtrait un accident aux qualifications l'empêchant de prendre le départ, où la tête du Championnat du monde changerait de main et où la pression serait si intense que les équipes commettraient plus facilement des erreurs stratégiques, la plupart des gens regarderaient cette course sans hésiter.
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