Pourquoi Verstappen se trouve confronté à un héritage Honda
Max Verstappen trouve les pénalités moteur "illogiques", toutefois elles sont en vigueur depuis désormais quatre saisons et ont en grande partie été façonnées par les difficultés rencontrées par Honda au moment de son retour en F1. Retour sur l'évolution récente des sanctions concernant les unités de puissance.
Au sortir du Grand Prix de São Paulo, Max Verstappen s'est fendu d'une déclaration sur la pénalité moteur reçue par Lewis Hamilton, et plus globalement sur les règles en vigueur dans ce domaine. Pour le Néerlandais, le fait que le premier changement d'un élément – ici le moteur à combustion interne (ICE) – au-delà du quota autorisé soit pénalisé de 10 positions de recule sur la grille et que les suivants le soient de cinq places est "illogique".
Si l'opinion de fond sur cette question dépend des sensibilités de chacun, la remise en cause de ces règles par Verstappen intervient seulement à la fin de la quatrième saison où cette logique est appliquée. Peut-être plus ironique, c'est en grande partie en raison des difficultés du motoriste actuel du Néerlandais, Honda, que cette orientation avait été adoptée. L'occasion d'un petit retour en arrière sur l'évolution des sanctions dans la réglementation moteur depuis le début de l'ère turbo hybride.
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