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La poussière de freins, un plus gros problème que la pollution

Des pilotes de F1 ont expliqué avant le début du Grand Prix de Singapour que les problèmes qu'ils rencontrent en raison de la poussière de freins sont plus importants pour eux que ceux liés à la pollution singapourienne.

Sebastian Vettel, Ferrari, découvre la piste

Photo de: Simon Galloway / Motorsport Images

La situation de l'air à Singapour pose question cette semaine en raison des feux de forêt en Indonésie et oblige les organisateurs du Grand Prix à se tenir en alerte pour prendre toute mesure nécessaire, ce qui pourrait comprendre notamment la distribution de masques aux spectateurs si les niveaux de pollution sont trop importants. Dans le même temps, les pilotes de F1 ont tempéré toute crainte concernant cette question, indiquant que le fait de terminer les courses avec de la poussière de carbone dans le nez mettait ces inquiétudes en perspective.

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"Je ne suis pas vraiment inquiet", a déclaré Valtteri Bottas. "Je pense que si je vivais ici, je passerais beaucoup de temps à l'intérieur. Je crois que, de toute façon, quand nous courons, nous respirons pas mal de poussière de freins donc je ne suis pas sûr que ça fasse une immense différence."

Quand il lui est demandé si la question de la poussière de freins nécessitait une intervention, le Français a répondu : "Je ne sais pas si quelque chose peut être fait. Bien sûr, il y a la poussière de vos propres freins, mais c'est minime. Ce sont les voitures devant, ça va toujours être le cas. À chaque fois que vous éternuez après la course, c'est noir, donc année après année, je ne suis pas sûr de ce que cela fait au corps. Aucune idée. Je pense que personne ne s'y est jamais intéressé. Je préférerais respirer un air pur, mais je ne sais pas vraiment ce qui peut être fait."

Du côté de Lewis Hamilton, la question de la poussière de freins n'est pas ignorée mais il explique que la seule différence à Singapour est qu'il lui a été conseillé de ne pas courir dehors. "Nous avons tous des médecins. Ça n'a pas été signalé comme un problème pour nous, mais j'en suis conscient. Naturellement, je ne sais pas comment ça se passe pour les pilotes, mais quand vous vous mouchez après une couse, de la saleté, de la suie sort de votre nez. Il y a le carbone que vous respirez."

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"L'air propre est naturellement important. On m'a dit de ne pas sortir dehors pour courir, par exemple, car ça ne serait pas une très bonne chose pour moi, mais je ne sais pas comment cela va avoir un impact pour nous en course. Il n'y a pas vraiment grand-chose que nous puissions faire. Nous ne pouvons pas ajouter quelque chose d'autre dans nos casques, donc c'est comme ça j'imagine."

Daniil Kvyat, enfin, n'est pas trop inquiet : "Nous pouvons courir dans beaucoup de conditions, bien sûr, mais ensuite je ne sais pas quel impact cela a sur nous. Bien entendu, il faut respirer tout en pilotant, plus encore, parce que c'est une activité physique, donc... Je ne sais pas quel effet ça peut avoir. Je ne veux pas savoir."

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