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Racing Point : "Comme si Hülkenberg n'était jamais parti"

C'est indéniablement l'histoire du week-end, et si le Grand Prix de Grande-Bretagne n'a pas encore livré son verdict, Racing Point estime avoir fait le bon choix.

Nico Hulkenberg, Racing Point

Nico Hulkenberg, Racing Point

LAT Images

Sergio Pérez positif au COVID-19, Racing Point a dû trouver en urgence un remplaçant au pilote mexicain et a réussi à faire revenir Nico Hülkenberg. Propulsé en quelques heures dans le baquet de la RP20, l'Allemand a dû s'adapter à la vitesse grand V dans l'objectif de marquer des points cet après-midi. Pour tenter d'y parvenir, il s'élancera depuis la 13e place sur la grille de départ. Car il n'y a pas eu de miracle en qualifications, où Hülkenberg a largement rempli son rôle mais à échoué à passer en Q3 pour 65 millièmes de seconde. L'équipe dans laquelle il a évolué en 2012, mais aussi de 2014 à 2016, se félicite du travail fourni par son remplaçant de luxe jusqu'à présent.

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"Nous ne savons pas quelles étaient les procédures chez Renault, mais il a une bonne mémoire", souligne Andy Green, directeur technique de Racing Point. "Et je crois que de nombreuses procédures auxquelles il était habitué lorsqu'il pilotait pour nous il y a quelques saisons n'ont pas vraiment changé. Elles ont peut-être évolué un peu, mais les grands principes restent très similaires."

"Il s'est remis dedans de manière incroyablement fluide. C'est comme s'il n'était jamais parti. C'est pour cela que nous voulions que ce soit lui dans la voiture. Avec si peu de temps, nous voulions quelqu'un que nous savions capable de tirer le meilleur. Sur ce plan, ce n'est pas si difficile pour lui. Je pense que c'était relativement simple."

En plus de l'adaptation à un environnement qu'il retrouve sur le tas, Hülkenberg doit composer ce week-end avec les exigences physiques de la F1. Le cou du pilote a souffert, lui qui n'avait pas piloté une monoplace depuis neuf mois et qui était sans volant pour la saison.

"Son plus gros désavantage, c'est de ne pas avoir été dans une voiture pendant neuf mois", confirme Green. "Je crois qu'il est un peu rouillé de ne pas avoir été dans un baquet aussi longtemps. Au niveau de l'installation, ça s'est bien passé. Il y a encore des modifications que nous pourrions faire pour qu'il soit plus à l'aise, mais il ne s'est pas vraiment plaint de ça. Le plus important, c'est le temps passé dans la voiture. Je pense que s'il fait une bonne course avec une cinquantaine de tours, il en sortira un peu fatigué et un peu sonné lundi, mais avec de meilleures connaissances."

"Nous avons fait des efforts pour réduire sa charge de travail. Nous n'avons pas trop insisté pour qu'il fasse des tests et de gros changements de réglages, nous nous sommes concentrés sur les bases. Nous avons complètement changé nos plans jeudi quant à la manière d'aborder le week-end. Il s'agissait de faire des choses simples, de ne pas faire d'expérimentations et de s'assurer de ne pas commettre trop d'erreurs."

Propos recueillis par Adam Cooper

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