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Hors du coup, Red Bull a "joué la sécurité" avec le moteur Renault

Pas en mesure de lutter avec le rythme des Mercedes et Ferrari, l'écurie autrichienne a préféré ne prendre aucun risque avec le moteur de Max Verstappen à Interlagos.

Max Verstappen, Red Bull Racing RB13

Steven Tee / Motorsport Images

Max Verstappen, Red Bull Racing RB13
Max Verstappen, Red Bull Racing RB13
Max Verstappen, Red Bull
Max Verstappen, Red Bull Racing RB13
Max Verstappen, Red Bull Racing RB13 au stand
Max Verstappen, Red Bull Racing RB13
Max Verstappen, Red Bull Racing RB13
Marcus Ericsson, Sauber C36 et Daniel Ricciardo, Red Bull Racing RB13 en lutte
Daniel Ricciardo, Red Bull Racing RB13
Daniel Ricciardo, Red Bull Racing RB13
Daniel Ricciardo, Red Bull Racing RB13

Contrairement aux derniers Grands Prix, et avec un contraste frappant par rapport à la domination de Max Verstappen à Mexico, Red Bull n'a rien pu faire pour espérer lutter pour la victoire ou le podium à Interlagos. La RB13, comme depuis le début du week-end, n'était pas à l'aise sur le tracé brésilien.

Parti en deuxième ligne, Max Verstappen a livré une course solide mais rapidement loin du tiercé de tête, ne pouvant pas non plus résister au retour fracassant de Lewis Hamilton. Sa cinquième place est finalement le reflet de ce que valait la monoplace de Milton Keynes couplée au moteur Renault sur la piste pauliste.

Le Néerlandais pouvait-il espérer mieux ? "Si les quatre voitures devant moi avaient eu un accident, évidemment...!" rétorque-t-il. "Non, nous n'avions aucune chance sur ce circuit. C'est vraiment dur. Les dix ou quinze premiers tours, nous étions compétitifs, mais nous avons tenté de compenser ce que nous perdions en ligne droite, et cela n'a pas porté ses fruits. Les pneus se sont dégradés plus vite, et c'était plus difficile."

Un sentiment amplement confirmé par son directeur d'équipe, Christian Horner, au micro de Sky Sports : "L'après-midi a été long ! Max est trop resté avec le groupe de tête, cela a fortement endommagé ses pneus et il n'en avait plus à la fin du relais."

"Nous avons joué la sécurité au niveau du moteur, la fiabilité était source d'inquiétude", ajoute le Britannique. "Ce tracé nous punit un peu plus que Mexico, nous n'avons pas pu rattraper le temps dans le deuxième secteur. Max sur-pilotait pour rester avec Kimi [Räikkönen] et Valtteri [Bottas], mais quand on reste près, on endommage ses pneus. On est dans la région de 25 à 30 ch de déficit. Nous entendons que Renault est en train de gagner du terrain, et nous avons bon espoir de réaliser une campagne solide l'an prochain."

"Nous allons nous réunir demain pour débriefer ça, analyser nos forces et nos faiblesses. Nous sommes sur une bonne lancée depuis que les courses extra-européennes ont commencé. Nous allons augmenter la puissance du moteur pour Abu Dhabi, afin de finir en beauté ! La fiabilité de Mercedes cette année est incroyable. C'est vraiment ce que nous devons résoudre l'an prochain, la fiabilité du moteur. Nous devons nous assurer de tirer les leçons de cette voiture pour l'an prochain."

Ricciardo s'en sort bien

Si Verstappen a dû exécuter une course "normale", Daniel Ricciardo a quant à lui dû mener grand train en partant du milieu de grille suite à une pénalité moteur. D'autant qu'il a également été victime de la bousculade du départ provoquée par Kevin Magnussen. Sa stratégie décalée lui a tout de même permis de remonter jusqu'au sixième rang pour assurer le résultat d'ensemble minimum de la structure autrichienne.

"C'était très serré au virage 2", raconte l'Australien. "Il y avait quelqu'un à l'intérieur, il y a toujours un risque à l'extérieur. Je pense qu'une voiture s'est déportée vers moi et m'a heurté. Heureusement, nous n'avions pas de dégâts, nous avons juste changé les pneus. Je suis remonté aussi vite que possible et je suis content de ma course. Les 15 derniers tours, j'étais tout seul, j'essayais de gérer mes pneus. L'équipe m'a dit que Max avait eu des difficultés à la fin de son relais. Après le premier tour, les trois quarts de la course étaient fun."

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