Sign up for free

  • Get quick access to your favorite articles

  • Manage alerts on breaking news and favorite drivers

  • Make your voice heard with article commenting.

Motorsport prime

Discover premium content
S'abonner

Edition

Suisse
Actualités

Renault F1 ne se sent pas menacé par l'affaire Ghosn

Cyril Abiteboul a tenu à se montrer rassurant sur l'engagement de Renault en Formule 1, alors que le PDG du groupe, Carlos Ghosn, est au centre d'une affaire judiciaire au Japon.

Carlos Ghosn, Président de Renault

Photo de: Renault F1

Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team R.S. 18
Préparation d'une Renault R.S. 18
Cyril Abiteboul, directeur général Renault Sport F1
Carlos Sainz Jr., Renault Sport F1 Team R.S. 18
Renault RS 01 et Renault R.S. 18
Préparation d'une Renault R.S. 18
Jérôme Stoll, directeur de Renault Sport F1 et Carlos Ghosn, président de Renault
Carlos Sainz Jr., Renault Sport F1 Team R.S. 18
Carlos Sainz Jr., Renault Sport F1 Team R.S. 18

La semaine est mouvementée pour le constructeur français, dont le PDG Carlos Ghosn a été arrêté et placé en garde à vue au Japon. D'ores et déjà révoqué de la présidence de Nissan, le grand patron de l'alliance Renault-Nissan est soupçonné de malversations financières. En revanche, au titre de la présomption d'innocence, le conseil d'administration de Renault ne l'a pas encore écarté, mais a confié provisoirement la direction exécutive du groupe à Thierry Bolloré.

Le séisme provoqué par l'affaire Ghosn pourrait avoir des retentissements jusque dans les branches sportives du groupe, mais dans le paddock d'Abu Dhabi, Cyril Abiteboul a tenu à se montrer rassurant. 

"C'est une affaire très importante dans le développement du groupe Renault", admet le directeur général de Renault Sport Racing. "Mon message, c'est simplement qu'il y a un plan de continuité pour toutes les opérations du groupe Renault, ainsi que pour Nissan et Mitsubishi. La F1 fait partie de ces opérations. Ce sont un projet et une activité bien connus, très visibles, qui génèrent énormément d'exposition avec des attentes claires quant à un retour sur investissement et à la contribution au business."

Lire aussi:

"Je pense que les raisons pour lesquelles nous avons rejoint la F1 fin 2015 sont toujours valables aujourd'hui, pour l'exposition... et pour le développement technologique. Il n'y a aucune raison que ces facteurs disparaissent soudainement dans le cas d'une évolution de la situation sur laquelle je ne veux pas spéculer pour l'instant." 

"Si la F1 était toujours une bonne proposition avant, il y a une raison pour qu'elle le reste à l'avenir. C'est à nous de signer les meilleurs résultats possibles pour le bien de la compagnie. Je n'ai aucune indication selon laquelle Thierry Bolloré n'aime pas la F1. Encore une fois, le directeur de notre compagnie a une très bonne connaissance de ce que nous faisons, alors pas de scepticisme, juste de la concentration sur les faits et sur ce que nous avons à faire." 

Historiquement, Carlos Ghosn a toujours poussé Renault vers la Formule 1 et n'a pas été étranger au développement du Losange dans la catégorie reine, mais les investissements mis en place n'ont jamais été liés à sa seule vision.

"Il est juste de dire que Carlos Ghosn a joué un rôle important dans la décision de revenir fin 2015, mais ce n'est évidemment pas la décision d'un seul homme", précise Cyril Abiteboul. "La décision a été longuement discutée au sein des comités exécutifs, et c'était une décision de l'entreprise."

 

Be part of Motorsport community

Join the conversation
Article précédent Lauda s'exprime et sera "bientôt" de retour
Article suivant Affaire Haas/Force India : le verdict est tombé

Top Comments

Il n'y a pas de commentaire pour le moment. Souhaitez-vous en écrire un ?

Sign up for free

  • Get quick access to your favorite articles

  • Manage alerts on breaking news and favorite drivers

  • Make your voice heard with article commenting.

Motorsport prime

Discover premium content
S'abonner

Edition

Suisse