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Renault favorable à la limitation des dépenses des motoristes

Renault estime que la Formule 1 devrait envisager la mise en place de limites concernant les dépenses qu'un motoriste peut faire dans le cadre de ses activités en discipline reine.

Jolyon Palmer, Renault Sport F1 Team RS17

Jolyon Palmer, Renault Sport F1 Team RS17

XPB Images

Jolyon Palmer, Renault Sport F1 Team RS17
Jerome Stoll, Président de Renault Sport F1
Bob Bell, directeur technique Renault Sport F1 Team; Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team; Jolyon Palmer, Renault Sport F1 Team; Jérôme Stoll, président de Renault Sport F1; Alain Prost, conseiller spécial Renault Sport F1 Team; Thierry Koskas, vice-président des ventes et du marketing chez Renault; Cyril Abiteboul, directeur général Renault Sport F1 et la Renault Sport F1 Team R.S.17
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17
Jolyon Palmer, Renault Sport F1 Team RS17 dans les stands
Bob Bell, directeur technique Renault Sport F1 Team avec Cyril Abiteboul, directeur général Renault Sport F1; Jérôme Stoll, président Renault Sport F1 et Thierry Koskas, vice-président des ventes et du marketing chez Renault
Jolyon Palmer, Renault Sport F1 Team RS17

Alors que la réglementation visait, depuis 2014, à limiter les dépenses autour d'une technologie déjà très coûteuse en empêchant un développement effréné, l'abandon du système de jetons relance la fameuse course à l'armement du côté des constructeurs d'unités de puissance, même si la limite de quatre blocs par pilote et par saison persiste.

Pour Jérôme Stoll, président de Renault Sport Racing, les dépenses devraient être maintenues sous contrôle. "L'hybride est quelque chose d'intéressant, le problème que nous avons au final est le coût de la technologie", a-t-il expliqué à Motorsport.com.

"Nous devons surveiller les coûts et nous assurer qu'il y a un retour sur l'investissement que nous avons fait. Et les coûts ont beaucoup dérivé. Il faut voir comment nous pouvons freiner ou limiter un petit peu les coûts de développement pour chacun des constructeurs."

Limiter les coûts mais pas revenir en arrière, vers des moteurs plus simples, plus bruyants. Stoll marche ainsi dans les pas de Jean Todt, qui a récemment déclaré ne pas souhaiter le retour d'une technologie ancienne telle que celle du V10 ou du V12, notamment pour des raisons d'acceptation par la société et aussi, sans doute surtout, pour conserver les constructeurs en place actuellement, très attachés à l'hybridation.

"Il faut prendre en considération que si nous sommes dans cette compétition, c'est aussi pour des raisons technologiques. Le fait que nous avons poussé, parmi d'autres, pour l'introduction du système hybride pour le moteur est aussi parce que cela montre que même en F1, nous pouvons travailler pour l'environnement en réduisant la consommation de 30-40%."

"C'est quelque chose qui illustre le fait que l'on peut être dans ce championnat sans être quelqu'un qui veut tuer la planète. On aime la compétition, on aime la passion, et on peut aussi travailler de la façon dont tout le monde le souhaite."

Avec Adam Cooper

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