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Renault souhaite une influence majeure des constructeurs en F1

De nouveau engagé pleinement en Formule 1 avec une équipe d'usine depuis l'an dernier, Renault estime que les constructeurs doivent être considérés comme les "principaux acteurs" de la discipline, compte tenu de la contribution qu'ils apportent.

Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17

Photo de: XPB Images

Jolyon Palmer, Renault Sport F1 Team RS17
Jerome Stoll, Président de Renault Sport F1
Jolyon Palmer, Renault Sport F1 Team RS17
Le logo du Renault F1 Team
Jolyon Palmer, Renault Sport F1 Team RS17
Bob Bell, directeur technique Renault Sport F1 Team avec Cyril Abiteboul, directeur général Renault Sport F1; Jérôme Stoll, président Renault Sport F1 et Thierry Koskas, vice-président des ventes et du marketing chez Renault
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17
Jolyon Palmer, Renault Sport F1 Team RS17 avec des capteurs
Jolyon Palmer, Renault Sport F1 Team RS17

Président de Renault Sport Racing, Jérôme Stoll voit la F1 entrer dans une "nouvelle ère" suite au rachat de Liberty Media, et a la ferme intention que le Losange joue un rôle central dans les discussions liées aux orientations prises par la discipline pour son avenir.

"Nous avons eu des discussions [avec Liberty]", précise Stoll à Motorsport.com. "Nous avons expliqué que nous devrions travailler ensemble afin d'améliorer le spectacle, car l'attractivité du show a un petit peu diminué. Nous devons ouvrir une nouvelle ère avec Liberty, et ils veulent vraiment faire quelque chose de différent. Je ne sais pas ce que ça va être, mais nous voulons être considérés comme les principaux acteurs pour le spectacle." 

"Sans les constructeurs comme Mercedes, Ferrari, [Honda] et nous-mêmes – car nous sommes les seuls qui développons des moteurs et investissons de l'argent –, il n'y aura pas de show. Nous devons donc établir un dialogue et voir comment nous pouvons atteindre notre objectif."

Bientôt des discussions

Pour l'heure, les écuries engagées en F1 sont liées avec la discipline par les Accords Concorde, qui courent jusqu'en 2020. Renault espère voir les négociations s'ouvrir rapidement pour de nouveaux accords au-delà de cette date, qui correspond également à la fin de l'accord fixé entre les motoristes pour conserver les V6 turbos hybrides.

"Liberty va devoir discuter de ce qui se passera à l'avenir, car tout le monde sait que [les accords actuels] cesseront en 2020", rappelle Jérôme Stoll. "Il y a beaucoup de choses à changer avec la redistribution des droits et le fait que les petites équipes ne peuvent pas survivre. Il y a de nombreuses choses à discuter, et c'est quelque chose qui peut arriver dans les semaines à venir."

"Nous devrions travailler ensemble pour augmenter les audiences, un processus similaire à celui de 'l'œuf et la poule'. Si on améliore le spectacle, on améliore les audiences, mais on peut aussi augmenter les audiences en touchant les gens de différentes manières. La télévision à péage et les choses de ce genre ont été un système pour un certain temps, mais ça pourrait être différent dans les années à venir."

Propos recueillis par Adam Cooper

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