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Ricciardo - Bakou, une course "fade" mais une piste "géniale"

Après un Grand Prix d'Europe en deçà des attentes - qu'elles soient personnelles ou générales - Daniel Ricciardo est revenu sur la course de Bakou et son tracé si particulier.

Max Verstappen, Red Bull Racing RB12

Photo de: Red Bull Content Pool

Daniel Ricciardo, Red Bull Racing
Daniel Ricciardo, Red Bull Racing RB12
Daniel Ricciardo, Red Bull Racing RB12
Daniel Ricciardo, Red Bull Racing RB12
Sebastian Vettel, Ferrari SF16-H, devant Daniel Ricciardo, Red Bull Racing RB12
Daniel Ricciardo, Red Bull Racing RB12
Daniel Ricciardo, Red Bull Racing RB12
Daniel Ricciardo, Red Bull Racing RB12
Daniel Ricciardo, Red Bull Racing RB12
Daniel Ricciardo, Red Bull Racing RB12

L'Australien a livré un regard plus froid sur le Grand Prix d'Europe lors duquel, malgré une qualification en seconde position sur la grille de départ, il n'a pu mener sa RB12 qu'au 7e rang final, la faute à une dégradation pneumatique dramatique lors des deux premiers relais.

"[L’Azerbaïdjan] n’a pas été le meilleur résultat pour nous, mais c'est une nouvelle course où c'est cool de nous rendre. Dimanche, à Bakou, nous avons un peu été pris par surprise, pour être honnête. Nous nous attendions à une course à un arrêt, nous imaginions que ça serait une course à un arrêt assez sûre, un peu comme en Russie."

"Mais au début du troisième tour de la course, j’ai senti que les pneus partaient et je pouvais déjà dire qu’il allait être très difficile de faire cela, donc je suis rentré pour passer des supertendres à un train de tendres au 6e tour. Nous pensions que les tendres se comporteraient différemment, mais ça a été la même chose, donc au 23e tour, j’étais aux stands de nouveau, et cette fois pour des mediums."

Une mauvaise estimation de la dégradation due à la fois aux conditions de la piste azérie mais aussi au choix de l'équipe autrichienne de sacrifier de l'appui aérodynamique pour être plus performante dans la longue ligne droite du tracé : "Comme la piste était assez lisse, nous pensions que nous pouvions être un peu plus agressifs avec les pneus et que nous pouvions essayer de mettre plus d’énergie dessus, de les travailler plus durement."

"Nous avons juste été trop loin. Nous n’avions pas du tout prévu d’utiliser les mediums, et nous avons été en quelque sorte forcés à le faire au final. En fait, ça a fonctionné pour nous, tout bien considéré. Donc 7e ce n’était pas super, mais c’est là où nous étions."

Une course "fade"

Mais il n'y a pas que la stratégie qui a été mal jugée, il y a aussi le spectacle en course qui s'est avéré terne alors que la nature du tracé semblait favoriser les rebondissements, comme lors des qualifications ou du GP2. "Je me suis un peu enflammé samedi après les qualifications quand j’ai dit à tout le monde qu’il était certain que la course serait formidable, la course de la saison, en quelque sorte. Ça s’est terminé de manière assez fade, n’est-ce pas ?" 

"Dans quelques une de mes interviews après-course, je me suis excusé auprès des fans pour avoir, peut-être, donné de faux espoirs ! Je me basais en partie (c’est mon excuse de toute façon) sur les deux courses de GP2, qui étaient toutes les deux folles. Nous nous attendions tous à une voiture de sécurité par rapport à ce qui s’est passé dans les courses de GP2, mais elle n’est jamais arrivée."

Malgré tout, Daniel Ricciardo se montre véritablement enthousiaste concernant le circuit en lui-même et le défi qu'il représente, notamment dans sa déjà célèbre portion sinueuse de la vieille ville. "La piste était géniale. Pour moi, ça ressemblait à Singapour dans certaines portions, certaines me rappelaient Macao, des parties étaient uniques. C’était aussi un long tour, ce qui est assez inhabituel pour un circuit urbain. On peut vraiment l’attaquer, donc c’était très amusant pour piloter, et une bonne combinaison de vitesse pure, de pilotage technique et de risque."

"Le virage 9, où nous effleurons le château - avec le simulateur, ça semblait serré, mais quand j’ai fait la reconnaissance, je n'en revenais pas de l’étroitesse et à quel point la marge d’erreur était petite. Mais, pour moi, c’était vraiment rafraîchissant qu’un virage puisse être plus étroit et plus difficile que ce que nous attendions."

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