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Ricciardo a "trouvé le confort dans l'inconfort" à Sotchi

Auteur d'une belle cinquième place sur la grille de départ du Grand Prix de Russie, Daniel Ricciardo explique avoir été audacieux au niveau des réglages.

Daniel Ricciardo, Renault F1 Team R.S.20

Glenn Dunbar / Motorsport Images

L'an dernier, pour sa première venue à Sotchi avec Renault, Daniel Ricciardo n'avait pas eu de réussite. L'Australien s'était qualifié dixième, à quatre dixièmes de son coéquipier Nico Hülkenberg, et avait été impliqué dans un accrochage dès le premier tour, contraint à l'abandon peu avant la mi-course.

Un an plus tard, au volant de la Renault R.S.20, la situation est drastiquement différente : Ricciardo a pris la cinquième place de la grille de départ après avoir créé la surprise en signant le meilleur temps de la Q2, profitant certes des déboires de Lewis Hamilton et des pneus mediums utilisés par Valtteri Bottas et Max Verstappen. Cette performance est due au travail réalisé sur les réglages, d'après l'intéressé.

"Je pense que l'an dernier, si l'on regarde ça, même en regardant les caméras embarquées maintenant, la voiture avait l'air un petit peu trop bonne à conduire", analyse Ricciardo. "Mais en réalité, elle était lente. Il s'agissait juste de trouver le confort dans l'inconfort. J'ai regardé des tas de caméras embarquées, j'ai passé en revue des réglages que nous avons changés au fil du week-end l'an dernier pour voir où est-ce que ça avait mal tourné."

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"En théorie, si l'on n'est pas particulièrement compétitif sur un circuit, il y a une sorte de raison Peut-être que les réglages que l'on aime habituellement ne fonctionnent pas pour ce circuit. Il faut donc se pousser à faire quelque chose qui ne fonctionne pas forcément sur d'autres circuits mais pourrait fonctionner ici. Il faut sortir des sentiers battus et tester des réglages qui feraient peut-être peur sur d'autres circuits. J'ai ainsi essayé de sortir de ma zone de confort, d'être un peu plus agressif au niveau des réglages, de prendre un peu plus de risques."

Le pilote Renault n'est toutefois pas parvenu à réitérer sa performance de Q2 dans la dernière phase des qualifications, passant d'un 1'32"218 à un 1'32"364. Son chrono précédent lui aurait permis d'être quatrième sur la grille.

"Je viens d'étudier ça avec les ingénieurs et je pense, à vrai dire, que c'était simplement question de préparation des pneus. Pour être précis, le tour de Q2 ne pouvait probablement pas être plus proche de la perfection. Je savais donc que faire aussi bien allait être compliqué. Normalement, il y a toujours un peu de marge pour améliorer en Q3 par rapport à la Q2. Mais tout paraissait parfait en Q2. Les pneus étaient dans la bonne condition, et on le sent à la sortie du dernier virage pour lancer le tour, on sent que l'adhérence est là. Puis au virage 2, qui est le premier virage réel, le mordant était là, et il n'y avait pas de blocage à l'avant. C'était un tour aisé", conclut-il.

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