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Sainz : "Zéro flexibilité" pour attaquer avec la Ferrari

Troisième sur la grille de départ du Grand Prix de Miami, Carlos Sainz n'est pas parvenu à concrétiser. Le pilote Ferrari s'est maintenu à ce niveau derrière Pérez et Alonso au départ, et il est même parvenu à faire l'undercut à l'Aston Martin, mais le rythme n'était pas là en pneus mediums : il a chuté au cinquième rang à l'arrivée, à une dizaine de secondes de la Mercedes de George Russell, et est estomaqué par les difficultés rencontrées avec sa SF-23.

Carlos Sainz, Ferrari SF-23

Photo de: Zak Mauger / Motorsport Images

Comment s'est passée cette course, Carlos ?

Dur, dur. Je suis un peu surpris de l'ampleur de nos difficultés en pneus durs après un relais très solide en mediums. Nous avons tenté l'undercut sur Fernando, ça a marché, mais il a fallu attaquer pendant trois ou quatre tours avec les pneus pour faire l'undercut. Or, pour quelque raison que ce soit, en ce moment, nous avons zéro flexibilité avec notre voiture quant à la manière dont nous pouvons attaquer ou non. J'ai dû rester sous la limite pendant le reste de la course afin d'en voir le bout. Avec le vent et la manière dont nous malmenons les pneus, ce relais en durs est simplement devenu trop long pour nous.

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Le nouveau plancher a-t-il rendu la voiture plus facile à piloter ?

Actuellement, je ne peux pas attaquer. Surtout en course, dès qu'on attaque sur un tour. On fait un bon tour rapide, et le tour suivant on est trois dixièmes plus lent. C'était juste très, très dur avec les pneus, alors on n'a pas la flexibilité pour attaquer ou non, et il faut juste suivre un certain rythme pour arriver au bout. Je suis surpris, car je croyais que nous allions être meilleurs, mais cette course montre que nous avons encore du travail.

Avez-vous fait votre arrêt au stand au bon moment ?

Oui, car nous avons fait l'undercut et ça a marché. C'est juste qu'avec le recul, avec la voiture que nous avons maintenant, nous avons très peu de flexibilité pour tenter l'undercut ou l'overcut. Ce sont nos limites, mais au niveau stratégique c'était la bonne décision au bon moment. Simplement, avec le recul, je pense que nous ne pouvions pas finir devant Fernando.

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La stratégie alternative, avec un départ en pneus durs, aurait-elle été meilleure ?

Non, nous avons fait ce qu'il fallait. Les mediums fonctionnaient très bien pour moi. C'est quand nous avons mis les pneus durs et qu'il fallait faire un relais plus long que nous avons eu plus de difficultés que les autres, à mon avis.

Vous manquiez de confiance le week-end dernier à Bakou, en aviez-vous davantage ce week-end ?

Oui, tout ce week-end j'étais à fond, je pense avoir fait plus ou moins ce que je pouvais avec cette voiture, mais je ne suis pas aussi frustré ce week-end par rapport à ce que j'aurais pu faire, parce que je sais que Bakou était l'exception qui confirme la règle. C'était plutôt en course, pousser Fernando dans le premier relais et avoir 20 secondes de retard dans le second, c'est dur à accepter, et cela montre que nous avons beaucoup de travail à faire sur la gestion des pneus et le rythme de course.

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Propos recueillis par Matt Kew

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