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La saison 2018, peut-être la plus dure pour Vettel

Pour la deuxième année de suite, la lutte pour le titre opposant Lewis Hamilton à Sebastian Vettel a tourné à l'avantage du Britannique. Vettel, lui, reconnaît ses erreurs mais souhaite rester positif.

Sebastian Vettel, Ferrari en conférence de presse

Photo de: Simon Galloway / Motorsport Images

C'est mathématiquement joué depuis ce dimanche, Lewis Hamilton est le Champion du monde 2018 de Formule 1. L'année avait pourtant bien commencé pour Sebastian Vettel, qui s'était imposé en Australie et à Bahreïn, mais devient le cinquième homme de l'Histoire – le premier depuis 1982 – à voir le titre lui échapper après avoir remporté les deux courses inaugurales de la saison.

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Pendant la majeure partie de cette campagne, la Mercedes W09 et la Ferrari SF71H ont affiché un niveau de performance similaire, et après dix des 21 Grands Prix, c'est Vettel qui était en tête du championnat du monde. Or, ce fut ensuite une véritable dégringolade, avec une sortie de piste rédhibitoire à Hockenheim alors qu'il menait sa course à domicile et des tête-à-queue en début d'épreuve à Monza, à Suzuka et à Austin. Hamilton a ainsi marqué 72 points de plus lors des neuf dernières manches, et a été sacré dès le Mexique.

Lorsqu'il lui est demandé si 2018 a été son année la plus difficile en F1, Vettel répond : "Peut-être, je ne sais pas. Je dois y réfléchir, mais à certains égards, certainement. C'était sans doute différent d'autres années. Néanmoins, je pense qu'il ne faut pas négliger le fait que nous avions un package très compétitif, nous avons pu gagner des courses, nous ne sommes plus en lice pour le titre des pilotes mais nous pouvons nous battre pour celui des constructeurs."

"Même si l'année a été difficile, je pense qu'elle a quand même été bonne pour nous, en tant qu'équipe. Nous continuons de progresser, mais également il y a certainement des choses qui sont devenues apparentes et que nous devons résoudre pour passer cet ultime cap que nous désirons."

Sebastian Vettel, Ferrari SF71H, quitte sa monoplace après sa sortie de piste

Sebastian Vettel, Ferrari SF71H, quitte sa monoplace après sa sortie de piste

Photo de: Steve Etherington / LAT Images

Sebastian Vettel, Ferrari SF71H en tête-à-queue au premier tour

Sebastian Vettel, Ferrari SF71H en tête-à-queue au premier tour

Photo de: Manuel Goria / Sutton Images

Le Grand Prix d'Allemagne a certainement eu un impact non négligeable sur la course au titre, puisque Vettel avait l'opportunité de creuser un écart d'au moins 15 points sur Hamilton au général, mais alors qu'il était en tête avec neuf secondes d'avance sur Valtteri Bottas sur une piste légèrement humide, le pilote Ferrari est sorti dans les graviers du stadium à basse vitesse et a heurté le mur. C'est finalement Hamilton, qui s'est imposé, prenant la tête du classement avec 17 points d'avance.

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On ne peut par ailleurs oublier l'influence du tête-à-queue de Vettel au premier tour du Grand Prix d'Italie, lorsqu'il a tenté une défense optimiste contre Hamilton dans la Variante della Roggia, puisque ce jour-là, le pilote Mercedes a fait passer son avance de 17 à 30 points.

Quel a été le tournant de la saison, l'Allemagne ou l'Italie ? "Aucun des deux", juge Vettel. "Franchement, pour moi, c'était plutôt Singapour. À partir de Singapour, il y a eu quelques courses où nous n'arrivions simplement plus à tenir le rythme de Mercedes, puis d'autres choses se sont produites de surcroît, qui n'ont pas aidé."

"Nous n'avons pas pu marquer les points à cause d'erreurs que nous avons commises, d'erreurs que j'ai commises. Je ne peux pas trop m'en vouloir de ce qui s'est passé en Allemagne, car j'ai commis de bien plus grosses erreurs cette année, mais il est clair que celle-ci a été la plus coûteuse. C'est la course : quand on attaque, on risque parfois de dépasser la limite."

Propos recueillis par Scott Mitchell

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