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Comment parler de santé mentale rend la F1 plus saine
La santé mentale est un sujet rarement abordé dans le monde du sport, notamment en Formule 1. Mais ces derniers mois, les pilotes ont commencé à s'ouvrir sur leurs craintes et complexes, et sur la manière dont ils les surmontent.
Les pilotes de Formule 1 sont des superhéros. Ils l'ont toujours été et le seront toujours, flirtant chaque week-end avec leurs limites et celles de leur voiture. Mais on oublie souvent qu'ils sont aussi des êtres humains. Ils connaissent des émotions et des difficultés comme le commun des mortels, mais doivent composer avec la pression de l'un des championnats sportifs les plus exclusifs et compétitifs au monde.
La catégorie reine du sport automobile est généralement un environnement où l'on est remplacé si l'on n'est pas au niveau. La santé mentale est stigmatisée de telle sorte qu'en parler peut être vu comme un signe de faiblesse. Et les pilotes n'aiment pas ça, craignant que cela leur soit défavorable. "Pourquoi parler de sa faiblesse, même si on en a une ? Pourquoi l'expliquer ? Non, je ne dirais jamais ce genre de choses", assure Max Verstappen.

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À propos de cet article
Séries | Formule 1 |
Auteur | Luke Smith |