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Pérez : "Si j'en suis capable à Bakou, je peux le faire n'importe où"

Sergio Pérez se sent pousser des ailes après avoir remporté le Grand Prix d'Azerbaïdjan, pour ce qui était déjà sa deuxième victoire de la saison.

Sergio Perez, Red Bull Racing, vainqueur

Photo de: Simon Galloway / Motorsport Images

Le statut de spécialiste des circuits urbains n'est pas galvaudé pour Sergio Pérez. Ces pistes sont largement minoritaires au calendrier de la Formule 1, et pourtant, le pilote mexicain y a remporté la quasi-intégralité de ses victoires dans l'élite, à l'exception de son succès à Sakhir avec Racing Point en 2020. Depuis, il s'est imposé avec Red Bull à Monaco, à Singapour, à Djeddah et surtout à Bakou, où il est le premier pilote à avoir triomphé par deux fois.

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Pérez ne dément pas avoir des facilités sur les circuits urbains, mais il est convaincu de désormais pouvoir concrétiser sur d'autres pistes : "La raison pour laquelle je suis compétitif sur ces circuits est que je suis capable de jouer avec la voiture bien plus qu'auparavant. Alors je ne vois pas pourquoi, en allant sur des circuits différents, je ne pourrais pas jouer avec la voiture de la même manière."

"Je pense que sur les circuits urbains, il faut être très fort en course, et très résistant à la pression. Il faut pouvoir la gérer car on ne peut pas faire d'erreur. Sur un circuit normal, si on fait une petite erreur, on peut s'en tirer. Mais dans les rues, on ne peut pas se permettre de telles erreurs. Et j'ai probablement plus de confiance que les autres en course."

"En fin de compte, j'ai gagné à Bakou sur le rythme pur, peu importe que ce soit un circuit urbain ou permanent. Si j'en suis capable à Bakou, je peux le faire n'importe où."

Gagner sur des circuits permanents, il va falloir que Pérez y parvienne enfin s'il veut concrétiser son ambition de jouer le titre mondial pour la première fois face à son redoutable coéquipier Max Verstappen. Ce dernier, membre de la famille Red Bull depuis 2014 et double champion en titre, est logiquement le fer de lance de l'écurie à tous égards, mais Pérez a la ferme intention de donner du fil à retordre à son partenaire tout au long de l'année.

"Je suis convaincu que l'équipe m'apportera autant de soutien qu'à Max, car c'est ce qu'elle fait depuis le début de la saison", affirme le Mexicain. cet égard, je pense qu'il faut vraiment saluer Red Bull. Ce serait très facile pour Red Bull de mettre en place des consignes d'équipe à partir du 20e tour : prendre soin des voitures, s'assurer qu'elles soient très fiables, etc. Mais non : à Djeddah et à Bakou, nous avons attaqué à fond tout au long de la course, et les deux pilotes ont heurté le mur quelques fois !"

Propos recueillis par Jonathan Noble

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