Sign up for free

  • Get quick access to your favorite articles

  • Manage alerts on breaking news and favorite drivers

  • Make your voice heard with article commenting.

Motorsport prime

Discover premium content
S'abonner

Edition

Suisse
Actualités

SLF - Interview exclusive de Robert Doornbos

L'ancien pilote de Formule 1, Robert Doornbos, roule aujourd'hui en Formula SuperLeague pour l'équipe des Corinthians

L'ancien pilote de Formule 1, Robert Doornbos, roule aujourd'hui en Formula SuperLeague pour l'équipe des Corinthians. Il répond aux questions de ToileF1.com en exclusivité.

Robert, pas mal de monde dans le paddock s’accorde à dire que vous avez un caractère différent. Sais-tu ce que ça veut dire, ce « différent » ?

"Mon surnom, c’est Bobby D. Je l’ai même fait inscrire sur mon casque. Les gens qui se fichent de moi m’appellent « Bobby Dick », tu vois ce que je veux dire… Sans doute que c’est parce que j’aime bien m’amuser et faire un peu le pitre. Les gens prennent certaines choses trop au sérieux ; la base, c’est de s’amuser dans ce que l’on fait, et c’est mon cas."

Qu’est-ce qu’il y a d’amusant à être pilote de course ?


"Eh bien par exemple, en interview, si je dis à un journaliste « tu n’écris pas ça, hein ? », tu peux être sûr que c’est le premier truc que tu vas retrouver en titre ! Du coup, tu peux raconter dix bêtises derrière, ton interlocuteur n’y fera même pas attention ! Tu n’écris pas ça, hein ?!"

Vous êtes sérieux malgré tout dans votre approche de la course…


"Oui, bien sûr. Etre jovial, ça permet de créer des contacts aisément, et parfois, ça peut même t’apporter des sponsors. J’ai la chance d’avoir pas mal de partenaires de renom, qui sont aussi associés à une image « cool ». RedBull ou Playboy, par exemple. Alors on peut dire que je me comporte comme un adolescent, et ce n’est pas tout à fait faux. Mais après tout, qu’est-ce qu’il y a de mal à ça, si au moment de m’entourer, de débriefer et de piloter, tout se passe bien ?"

Justement, ça ne se passe pas comme vous devez l’espérer, cette saison…


"Non, c’est vrai. Je sais ce que c’est que de faire des pole et de gagner en SuperLeague Formula, alors évidemment, si je n’y arrive pas, c’est frustrant. L’auto ne me permet pas de le faire pour diverses raisons, et c’est dommage. Mais ça ne veut pas dire que la situation va rester bloquée. Certains pilotes ont la pression car ils n’auront pas le budget pour boucler leur saison ou commencer un autre programme s’ils se ratent. Ce n’est pas mon cas et c’est un luxe."

Comment vous consolez-vous ?


"Eloignez les enfants de la salle ! Eh bien, je me vide la tête en faisant de l’exercice, en sortant avec mes amis et j’ai la chance de voir du pays un peu partout où je vais. C’est un mode de vie fatiguant mais j’aurais beaucoup de mal à m’en passer."

Be part of Motorsport community

Join the conversation
Article précédent Ferrari : Alonso et Massa sont prêts pour demain
Article suivant Williams en faveur du retour des consignes d'équipe

Top Comments

Il n'y a pas de commentaire pour le moment. Souhaitez-vous en écrire un ?

Sign up for free

  • Get quick access to your favorite articles

  • Manage alerts on breaking news and favorite drivers

  • Make your voice heard with article commenting.

Motorsport prime

Discover premium content
S'abonner

Edition

Suisse